Ils sont côte à côte assemblés, et l’éternité nous sépare, je les vois unis et brisés, et mon regard sur eux s’égare. sur nos passés sans lendemains, quand regards et sourires complices, vivaient d’avenirs incertains, bâtis de fragiles édifices. je revois le palais des noces, a présent, grave et endeuillé, par une mort bien trop