Éteindre ou allumer la lumière ? renouer ou couper le fil ? voilà quelques questions que posent les évolutions de jolis outils qui permettent de donner des nouvelles dans notre beau monde moderne et si pertinemment technologique. nous* qui sommes des esclaves volontaires de ces outils, nous en sommes aussi parfois -pas tous notons-le bien- crit

Jean babilée avait l'élégance des hommes qui ont beaucoup voyagé, fait beaucoup de rencontres sans jamais juger. la voix douce et chaude, la diction des conteurs. c'était surtout un corps d'une délicatesse émouvante, d'une souplesse désarmante, d'une expressivité toute en nuance. ce n'est pas rien d'être danseur. d'en faire un choix de vi

Ceux là étaient si bien caché que je les avais oubliés dans le dossier de brouillon. donc, c'est ce à quoi vous avez échappé en ce début d'année. une série de versions sans aucun texte, sans aucun mot quand l'idée tournait autour du fait de ne rien faire que l'on regrette, de ne rien faire qui soit contraire à nos valeurs ou à nos conv

Merci d'avoir suivi cette aventure ici rien à voir déménage ! désormais la suite se déroulera à cette nouvelle adresse : http://www.rien-a-voir-art.info/ à bientôt

It's done ! enfin, la bobine est finie, sous enveloppe et expédiée. direction outre-manche en espérant que les douaniers ne feront pas de zèle à coups de rayon x. petit résumé : participation à un appel à prise de vue sur film argentique pour collaborer avec cette photographe américaine qui joue des possibilités de cete pratique que cert

Vous les avez vu apparaître périodiquement, irrégulièrement depuis 2009. ils ont changé au gré de vos remarques et de vos observations tandis que la série se constituait discrètement. aujourd'hui, ce projet a pris une forme plus complète et, si elle n'est pas tout à fait achevée, elle s'approche de son terme. vous trouverez donc l'ensemb

Après quelques semaines agitées et fortement mobilisé sur divers fronts, il s'agit de refaire surface ; reprendre pied dans l'ordinaire tout en mettant à distance les quelques rêves nourris en commun, ces rêves avec lesquels nous comptions améliorer le quotidien. l'aventure fut enrichissante, humainement et intellectuellement... nous n'avons

J'y vois trop clair, il faut que l'on m'arrache un œil disait l'ami courbet (et oui, on peut avoir un « ami » mort depuis près de deux siècles, la fraternité n'a pas d'age et encore moins de date de péremption...) dernier avatar de cette série d'hom'ages cachés... des dommages peut-être.

Nous avons plus de temps pour avoir peur alors … peur en continu ou « même pas peur », la voilà devenue une hôte ordinaire, tellement habituelle que nous n'y faisons plus attention ; elle est là qui distille son fiel et ses venins, tranquillement juchée sur la banalité.

… un de plus quand bien même le sommeil se ferait moins lourd, la fatigue moins tenace, ces transports là restent agités.