"on en voit de ces enfants ivres de coups du sort traîner leurs angoisses à travers le temps, le long des êtres et des buffets. moi, je m'en suis assez bien sorti. j'ai eu la chance d'entrer dans le monde adulte avec une enfance fêlée, mais pas cassée et une volonté farouche de vivre chaque instant." (jacques lansmann, le têtard)
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Sans prétention journalistique, ce blog est ouvert à celles et à ceux qui veulent s'exprimer sur ce qu'ils aiment, ce qu'ils voient, ce qu'ils entendent et ce qu'ils vivent. La démarche d'Écriture ouverte est d'apporter une critique sur la société, sur l'actualité, sur l'art, la littérature et la culture. Elle transporte ou provoque également une ou plusieurs ouvertures d'idées, de pensées, de propositions et de débats. Ce blog existe aujourd'hui pour créer du sens, de l'idée et de la pensée.
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
"depuis longtemps nous avons renoncé pour notre existence, à la religion de nos pères, à leur foi en une élévation rapide et continue de l'humanité ; à nous qui avons été cruellement instruits, cet optimisme prématuré semble assez dérisoire en regard de la catastrophe qui, d'un seul coup, nous a rejetés en deçà de mille années d'ef
L’homme ne cesse de porter son regard vers le ciel. il cherche dans le loin une lumière qui lui est familière. les étoiles le fascinent, emprisonnent son esprit. mais quel est l’origine de cette emprise ? a l échelle atomique, nous présentons les mêmes éléments qui constituent les étoiles. en fixant le ciel, la nuit, nostalgie et méla
Seconde photo de notre série "nuages" :
« l’ile au trésor et le comte de montecristo furent une drogue exquise pendant ces années de vaches maigres. je les dévorais mot à mot, désirant savoir ce qui se passait à la ligne suivante et en même temps ne le désirant pas afin de ne pas rompre le charme du récit. grâce à eux comme aux mille et une nuits, je n’ai jamais oublié q
"nous, jetés à travers tous les rapides de l'existence, nous, arrachés à tout enracinement, nous qui recommençons à partir de rien chaque fois que nous sommes acculés à une impasse, nous victimes, mais aussi serviteurs volontaires de puissances mystiques inconnues, nous pour qui le bien-être est devenu une légende et la sécurité un rêv
"l'homme est son propre maître et il n' y a pas d'être plus élevé, ni de puissance qui siège, au-dessus de lui, en juge de sa destinée. "on est son propre refuge, qui d'autre pourrait être le refuge ,", dit le bouddha."
Savoir renaître, c'est aussi savoir plonger dans la mer matricielle.
Dernières neiges avant le printemps !