"ce rêve qu'on appelle la vie humaine" enfin, j'ai vu le film. des mois que je suis à l'affût des programmes ciné. j'avais lu le livre de robert walser en début d'année, ignoré le film, et puis ce fut trop tard, il ne passait plus. enfin aujourd'hui le manque est comblé. je suis ravie. l'atmosphère étrange et absurde du le roman de walser
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Les carnets de Volovent
Ce blog est un cocktail mêlant mes photographies, modelages numériques, déambulations verbales et critiques lectures, cinéma, expositions.
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Maison, Déco & Bricolage
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Toujours le nez dans mes archives. j'avais fait des tas d'essais à base de pommes et de mots en 2004. après... ... tnava
Un petit mot sur le nouveau transfuge (magazine culturel) de ce mois. surtout le plaisir de lire une mini-interview de w. t. vollmann, qui rêve tout haut aux livres qu'ils souhaiteraient lire (s'ils existaient). qui viendra lui enseigner ce qu'est son identité nationale ? de là à laisser le rêve se dérouler... un français - ou mieux, une fra
Un complément à glisser dans votre exemplaire-livre. .... spoiler... verso "quelques clés de ce roman à serrures grippées" recto ...mots proscrits... "this is a very precious piece of map that requires a delicate handling." 'ce pas ? pour ceux qui s'y reconnaîtront, c'est dans la revue inculte n°14.
Je n'ai pas hésité lorsque j'ai vu que la réalisation était signée naomi kawase, dont j'avais déjà vu et apprécié shara, son précédent film. autant shara se passait dans une grande ville très touffue d'habitations, autant dans la forêt de mogari, le vent circule, la végétation est reine. on est donc dans un environnement rural, c'est
Premier film d'andrei tarkovski en exil en italie, et son avant-dernier film. toujours porté par une très belle esthétique de l'image, travaillée comme un tableau, la caméra fixant suffisamment longtemps les plans larges pour que nous puissions détailler l'ensemble. si je n'avais pas su que ce film était de tarkovski, je l'aurais deviné tan
Abrégé d'histoire de la littérature portative - e. vila-matas
"le sérieux est un continent mystérieux du corps, utilisé pour cacher les défauts de l'esprit" in tristram shandy, de laurence sterne. mais ce n'est pas de tristram shandy dont je vais vous parler, mais de l'abrégé d'histoire de la littérature portative. attachez vos ceintures, tout va vite dans ce petit livre, les noms surgissent, surprenne
Pas vraiment la tête ni le temps à compléter ce blog en ce moment. mais j'ai une bonne excuse, je suis en pleine... culture. labyrinthe sans dessus-dessous, salut jodhra, je ne passe pas par hasard, inutile de me faire tes yeux de louve minotaurienne, regard moi ce chaosmos, besoin de reborder tout ça. temps il est de nettoyer tes graffitis "so