Depuis hier je deviens l'heureux propriétaire d'un aquila en super état, afin de ne pas rester trop longtemps privé de navigations.

Merci au 153.000 lecteurs de ce blog, qui depuis 2007 et malgré l'arrêt de parutions continent à le lire et j'espère à y trouver quelques réponses à leurs envies de voyages ou autres interrogations.

En mer rouge bonne et heureuse année 2016 à tous ceux qui viennent sur ce site pour le compulser (navigateurs ou non) janvier 2016: le cap des 145.000 visiteurs vient d'être dépassé, alors même qu'aucune parution n'est intervenue depuis plus de deux ans. merci à tous ceux qui découvrent ou continuent à suivre ce blog de voyage... a la mêm

Un grand merci à tous les amoureux de la voile, les voyageurs, et les curieux de tous horizons. plus 850.000 pages de ce blog lues par vous tous. il ne nous reste donc plus qu'à repartir vers d'autres aventures, pour en écrire les prochains chapitres. mais ça, c'est une autre histoire !!!

Merci à tous les navigateurs et autres qui sont venus volontairement ou par hasard consulter notre blog de voyage. le cap des 1350.000 visiteurs vient d'etre "passe" pour un blog mis en "pilote automatique" depuis plusieurs années, ce n'est pas mal non ?

A tous ceux qui continuent à consulter ce blog, nous souhaitons les plus belles navigations du monde pour cette nouvelle année, les vents les plus favorables, les rencontres les plus fantastiques, les échanges les plus fructueux. pour ce qui est du reste, on a déjà du vous le souhaiter à maintes reprises.

Le lien pour acheter le livre: https://www.coollibri.com/bibliotheque-en-ligne/jean-jacques-salager/le-voyage-dumiak_10747 bonne lecture "papier" à tous.

Aprés le fountaine-pajot, le moody et l'aquila, voici désormais depuis trois ans maintenant, mon compagnon de navigations sur beg meil, la baie de concarneau, et entre autres, l'archipel des glénan: un jouet 550, dériveur lesté, plan berret.

J e l'avais pourtant presque juré: nous attendrons quelques temps avant de racheter un nouveau bateau. je l'avais pourtant presque juré: une fois que l'on a goûté au multicoques, on ne peut plus s'en passer. il n'aura fallu qu'une simple première visite de mon ami jean edmond dans le port de st cyprien pour faire voler en éclats toutes mes bo