Il n’est ni beau ni laid on le dit "soupe au lait"... il a fort caractère se met vite en colère. on s’est perdus, parfois, retrouvés chaque fois ; chacun suit son envie, c’est, je crois, pour la vie, car je reste moi-même sans attendre qu’il m’aime et je ne dis plus rien… il a son caractère ; il a forgé le mien.
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
...enfin réinstallée pour l'hiver prochain.... la vieille cuisinière a rendu l’espérance a la maison normande où languissait un feu dont je m’étais en vain résignée à l’adieu, au nom de la raison étouffant ma souffrance… aussitôt que la fonte eut repris sa brillance, une âme a refleuri dans cet austère lieu, et le bonheur aussi
Brise d’été tu peux me décoiffer tiède brise d’été, je ne crains pas ton souffle ni n’ai besoin de moufle ! ton zéphire divin grisant comme du vin a chassé les nuages des plus noirs pâturages tu hisses les esprits sur des sommets fleuris, fille des grands espaces en nous frôlant tu passes et, le nez vers le ciel, assis sous la marqu
La nouvelle configuration d'over blog ne me plait pas du tout à cause des pubs... voici ma nouvelle adresse de blog cliquez sur le lien ci-dessous : http://brises.eklablog.fr/ à bientôt !
Éloge de la retraite :).... je voulais être libre, et j’ai tourné les yeux vers un autre soleil, d’autres couleurs de cieux : on change de décor, on découvre un village, et l’amour refleurit sous un nouveau visage… j’abandonne au passé les mystères trop lourds et pour lequel mes pleurs aujourd’hui restent sourds ; a présent, l
Le soir s’étire en lambeaux de nuages dans le ciel sombre arborant deux visages : a l'horizon, des mimiques d’orages, et, dans son cœur, un oasis bleuté… l’âme est pareille au ciel qui se déchire lorsque l’été, qui s’embrase et soupire, attend la nuit pour exhaler la myrrhe de son essence au goût d’éternité… ( j'en ai prof
Bras levés au ciel, elle cherche tout l’été ses grappes perdues ! ....
Il suffit parfois de deux notes… souffle coupé silence où s’accroche le vol de ces deux notes arrêtées, suspendues… où les ai-je entendues ? dans quelle sonate, quelle symphonie ? ça n’a pas d’importance… on dirait l'essence même de la musique l'essence de la vie... la gorge nouée, on pleure est-ce peine, ou bonheur ?...
La parole l’enveloppa, l’apaisa, l’habillant comme une longue robe qui la couvrait jusques aux pieds : c’était en réalité la couette de son lit dans lequel elle écoutait la radio où les dires d’un prêtre ronronnaient ; elle les écoutait distraitement, pourtant elle réalisa leur poids mystérieux quand, soudain, le contact de ce ti
Bachfest leipzig 11.06.2010. https://www.youtube.com/playlist?list=plhip1cnbyhvobxv7byhme5oetjj6rxyan00:05 - allemande02:39 - courante04:11 - sarabande07:21...
quel génie ! arriver à trouver la "musique" de cette partition si complexe !.... j'ai du boulot, rire !!!!