CINE-QUA-NON
CINE-QUA-NON
Etudiante en communication & pub, je suis aussi passionnée de cinéma.
Me sachant toujours dans les salles, on m'a conseillé de créer un blog pour y lister mes critiques.
C'est aujourd'hui chose faite...
Merci à E. Tobianah et S. Pitti
Ses blogs
CINE-QUA-NON.fr, blog actus & critiques cinéma
CINE QUA NON, les critiques de tous les films.
Intouchables, Polisse, Drive, Fighter, l'Assaut, Black Swan, Le Discours d'un Roi, Sex Friends, Sans identité, Never Let Me Go, 127 Heures, Les Chemins de la Liberté, Last Night, Largo Winch II, Inception, Les Petits Mouchoirs, et pleins d'autres !
CINE-QUA-NON
Articles :
62
Depuis :
16/01/2011
Categorie :
Films, TV & Vidéos
Articles à découvrir
« un heureux événement », c’est la formule politiquement correcte pour désigner la venue d’un enfant. le film dépeint plutôt l'envers du décor auquel doivent faire face les jeunes parents, qui perdent progressivement ce petit piquant dans leur relation, leur romantisme, leur sang-froid, leur intimité, leur complicité... le spectateur
Rio, c'est l'histoire de blu, ce perroquet bleu, enlevé à son environnement naturel à sa naissance et adoptée par linda, une jeune fille du minessota. dernier mâle de son espèce, il va être recherché par tulio, ornithologue, qui veut le faire accoupler avec la dernière femelle afin de faire perdurer l'espèce. c'est ainsi que blu et linda
[critique] un jour - une succession d'événements anecdotiques sans pertinence
Deux destins liés par l'amitié et un amour transcendant. l'histoire peut sembler banale, mais c'est finalement ceux à quoi tout le monde aspire. on est charmés par la bande-annonce qui nous donne des ailes sur un air de duffy, le charme d'anne hathaway, alors on y va. le concept du film est d'arrêter la caméra sur certains 15 juillet durant v
Tu seras mon fils relate, comme son nom le laisse deviner, des relations père/fils dans un paysage et une ambiance viticoles. en premier plan celle qui unit, si j'ose dire, les personnages de paul et martin de marseul, respectivement joués par niels arestrup et lorànt deutsch ; celle aussi de philippe amelot (nicolas bridet), précipitemment rev
Contrairement à ce que le titre ou l'affiche laisse supposer sur le contenu du film, drive n'est incontestement pas un film d'action comme les autres. la critique en est d'autant plus difficile à écrire. "drive" : on penserait au premier abord aux poursuites en voitures, vitesse et adrénaline. mauvaise piste. "driver" aurait été plus judicieu
Lui, c'est le numéro quatre. il fait parti des survivants de son espèce, venus d'une autre planète. trois déjà sont morts. si mes calculs sont bons, il est le prochain à mourir. a mon sens, cela ressemble plutôt à un épisode d'une série - entre kyle xy et dawson. je ne faisais à mon avis pas partie du coeur de cible, qui devait rassemble
Intouchables, c'est déjà 2,2 millions d'entrées en seulement une semaine et demie, donc de nombreuses salles qui affichent "complet" pour les deux séances à venir, et enfin la réunion de plusieurs génération dans une même salle. les ingrédients sont rassemblés pour que cela marche : un thème généraliste ; françois cluzet bien connu d
Peut-être vais-je en décevoir plus d'un sur cette critique, mais je ne suis globalement pas satisfaite de polisse. malgré le casting de premier choix qui rassemble bon nombre de très bons acteurs français (dont mon nicolas duvauchelle, mais aussi karin viard, marina foïs, etc.), je pensais aller voir le récit, façon braquo, donc romancée,
[critique] impardonnables - un fouillis qui ne va nulle part
L'intrigue posée au début du film ne sera que la première d'une longue série sans jamais un dénouement convaincant. non, nous n'expliquerons pas -ou mal la disparition d'alice, la fille de francis venue lui rendre visite dans la maison qu'il partage avec judith à venise. non, contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'un
[critique] la planète des singes : les origines, ou le récit du singe.
On se souvient de la planète des singes de tim burton , sorti il y a très exactement dix ans, film de science-fiction qui changeait encore la donne à l'époque, reprenant le films de 1968, qui lui-même s'adaptait du roman de pierre boulle. alors bien sûr, ce n'était pas une nouveauté, mais au moins le film en valait la chandelle : des astron