Tout est beau dans ce que l'on aime. c'est un point de vue de l'esprit quand la beauté n'est qu'une promesse passagère, une durée d'une loupe sur une page d'amour écrite, que les belles années quittent après. aziz t.

Le monde de l'image a bouleversé la pensée humaine, envahi sa vie, aussi bien sa condition de représentativité devant son groupe, devant ses aspirtions, ses rêves. l'image le restructure constament, et chaque jour, l'individu se transfigure par rapport à ce qu'il voit aujurd'hui qui n'est plus le regard d'hier. c'est du passé. n'en parlons p

Voici ce mur où vont mourir les hommes comme auschwits, fils de paris, de berlin, de rome. un mur troué, pourpré, s'énivre tous les soirs. de jeunes soleils meurent sur lui sans espoir. au bas horizon rouge, et vit ce mur étrange ! ii vit de longs sanglots humains. ii boit et mange. chair humaine collée, où descendent des mains. ces mains ac

C'est une petite fille aux joues rentrées. on dirait qu'elle n'a pas dormi la nuit, tant ses yeux profonds se sont évanouis. ii n'y a pas de feu, il n'y a pas d'âme, lorsqu'elle lève ses cils noirs vers madame. d'habitude en classe , toujours gaie, riait avec ses copines qui lui souriaient. mais cette fois-ci, le coeur ferme sa porte, lèvres s

Sur la digue d'alger où se baigne les roches, a la base du mur noirci du jet des flots, on voit dans les rayons un berceau qui s'approche, laissant un long sillon qui traîne sur les eaux. ii avance; à son bord de tristes silhouettes, l'air figé, les yeux mouillés vers la blanche alger, regardand leur patrie qu'un léger vent fouette. de leur v

Je voudrai vous dire la vie, du bout du chemin, du bout du rêve, le rêve...le rêve...que le rêve. mais le rêve fait vivre. mais fait mourir aussi, quand il va dans la tête, souvenir....dans la brise du vent, dans les cheveux d'une femme, dans le parfum d'un mot, dans la main qui s'ouvre, dans l'autre main, et d'un mot qui donne un baiser à l

Dans " les mémoires d'outre- tombe " de chateaubriant, on lit ceci : "ii est permis de violer l'histoire, à condition de lui faire un enfant". effectivement, des peuples souffrent pour le bonheur des autres. ainsi, en tout temps, l'homme, le peuple, celui qui ne sait parler, ni écrire son histoire, comme nous le fûmes dans le passé, deviend le

Sonnet je vais marchant sur les sentiers du nord brumeux, a l'heure où la rosée perle l'herbe première. je vais à l'horizon, éclaté de lumière, où mes pas vont se dorer du flots écumeux. je marcherai couvert par la haute fougère. et sous un ciel ouvert, j'écouterai l'hiver. et ses brumes glacées qui voilent les champs verts, je verrai s

J'ai toujours marché dans la solitude et le désespoir quand la femme, l'homme, le vieillard, l'enfant souffrent, où qu'ils soient, en france ou alleurs. mon coeur porte alors un deuil, un désagréable bruit qui ne passe le pont sans l'éfondrer. le mal de vivre, calmement,, sans amour, sans amitié, aide et soulagement, est le risque du siècle

Talleyrand , disait , "on connait , dans les grandes cours, un autre moyen de se grandir : c'est de se coucher". talleyrand accordait cette réflexion aux courtisans de louis xvi, si j'ai bonne mémoire. louis xvi, plutôt ses conseillers inventaient des concepts, adéquats à faire soumettre tout le monde à son royaume, plus particulièrement ses