Un océan de soleil s'offre au ciel pour que le feu s'en émerveille; ils trompent leur douce éphémère mais déjà l'or se montre à la terre: cous fatigués, feuilles jaunies, ils s'inclinent, comme dévots usés ou peines mutines. ils semblent pardonner au vent acharné leur ample verdure malmenée et s'affalent comme lapidés sur le champs de
Les Tisseurs d'Ombre
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Les Tisseurs d'Ombre
Plumerons passionnés par la poésie, par la littérature, par tout ce qui fait l'homme, la femme, l'art, Soi et les Autres.
Plus qu'une recherche, ce blog est le résultat d'une rencontre.
Et si on se mettait à partager ?
Ses blogs
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Le blog de Les Tisseurs d'Ombre
Poésie, avant tout : le blog est né de la rencontre de deux apprentis poètes... un seul mot d'ordre, partage...

Articles à découvrir
Il est un temps, les rideaux toujours lourds et les volutes d'encens qui flambent, ô jour ô joie des ivres qui se promettent encore qu'à la venue des vêpres s'accroche comme un fil demain toujours néant, quand prendras-tu leurs rires insouciance filandreuse aux heures où l'on se berce d'arythmies farouches, lorsque nos reins soutiennent le c
Froide le silence me grise et s'interpose entre l'ombre et la roche où je pose un regard un hasard m'approche une étoile ou le grain du grès m'accroche il scintille murmure lumière au cœur de pierre froide le silence se brise et ricoche sur l'ombre et la roche où je pose un regard le hasard décoche une étoile et le grain du grès s'étiole
Parce que ... http://unpetitmondeperdu.over-blog.com/ ... j'avais décidé de migrer plutôt comme ça.
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Elle restera longtemps l'effluve aux bras qui manquent le silence incessant des heures qui se mélangent les couloirs qui résonnent d'une absence pesante elle restera toujours un visage qui s'estompe et la nuit les rumeurs, les images qui la cherchent dans les moiteurs obscures des amours qui se perdent quand le soleil revient dispersant sa prése
1 i. mon cœur est profond, mes mains arides et mon sommeil envie les heures sans bruit de vos sommeils, vos rêves sont des soleils et des marais des ombres épaisses sur vos épaules vos yeux dessous ont des répits et ciel sans les lumières des astres sans les liens qui vous maintiennent les corps en mouvement sur une terre figée la terre se m
Au-dessus, des rescat-îles sont des mesures aux creuses absinthes pour qui s’enivre des fleurs osseuses ; lasses, les mains qu'un tremble feinte, défuntes ; et les banquises que l'on macule entre toutes mers des biens, si sombres, gèlent à nos glaives, leurs laps, facondes, manquent de verbes ; et nous, prospères, et nous ; tandis que l'hymn
Ils étaient dans les limbes et les limbes alités tenaient asile en leurs rétines c'était le temps des mobidick des cachalots d'azurine roupillant le long des berges salines barges larges aux bras en lignes des regards bargeots aux mains on-line tout tenait en rien, et rien tenait au tout et tout allait si mal qu'un rien les rendait fou que d'un
Maussade un jour gris qui s'abîme sur nos toîts sur les toîts de nos belles villes de nos villes qui s'enracinent et je m'étiole je m'étiole sur les avenues j'asphyxie entre les rues je déambule et je m'excuse et pourquoi, je suis funambule hier, j'avais l'hiver j'avais le bitume j'avais les champs et les canicules j'avais le temps et ses con
Première partie l’enfant notre voyage prend ses sources il y a à peu près quinze siècles de cela, quand les chasseurs de dragons avaient encore de la besogne, et que les pêcheurs maladroits tombaient à l'horizon. en ces temps là, donc, beaucoup de sorcières chauffaient les villages, les bonnes comme les mauvaises, leurs qualités calorif