Savez-vous combien il est difficile de vivre sans sentiments la colère parfois arrive a me trouver l'espoir je prie pour qu'il ne m'ait pas abandonné a longueur de temps, je nous ment pour vous avec ce sourire pour moi en ne me regardant pas pourrir je me sens comme gangrené à l'interieur pourtant je n'affronte pas la vie avec fureur je n'ai pl

Que sont nos désirs, nos rêves, nos espoirs face à ce grand manège une grande roue illuminée dans le noir happés par le destin, ils se désagrègent le cercle du temps tourne nos sabliers s'écoulent tandis que nos tracas s'ajournent le serpent du paris s'enroule l'on relance les dés on a perdu la mise face aux dieux au final... la vie ne se

Détruire une vie... pourquoi est-ce si facile...je désirais aimer... j'espérais avoir un peu d'argent... je voulais profiter... j'aspirais à ce genre de vie... que n'importe qui a... seulement voilà... ils sont sans scrupules... briser est leur quotidient... piétiner est leur joie... ces gens là ne connaissent rien... mais se croient rois...

Le bonheur de ces gens de briser les rêves ne me donne que plus envie d'exaucer les miens ce moment où j'atteindrais mes fins jusqu'à leur accomplissements, je n'aurais de trêve m'élever au-dessus de leurs vies aussi misérables soit-elles dans ce ciel nocturne je déploie mes ailes vous n'aurez ni mon âme ni ma vie l'une n'a jamais existé e

Il clignote au loin presque invisible dans la pénombre s'allume puis s'éteint l'appréhension commence à fondre nulle âme qui vive a proximité étrangement je me sens en sécurité je me laisse hypnotiser par cet œil blanc il grossit tout en s'approchant mes jambes me portent vers lui un grand bruit retentit soudainement tout à cessé le tra

Depuis toutes ces années j'y croyais pensant avoir pris la distance nécessaire aujourd'hui je ne sais plus quoi faire toutes les nuits, ils viennent me hanter rêves ou cauchemars, je n'en ai pas conscience pour moi ce sont juste des réminiscences de ce passé monstrueux que je traîne qui m'a fait devenir tel que je suis cette aconit qui a pous

L’étincelle ne deviendra jamais flamme a jamais elle c'est éteinte désormais je le clame nul ne peux plus me porter atteinte faute de compagnie pour la nourrir tout c'est mis a pourrir espoir, amour et envie il n'y a eu aucun « si » si elle était restée... si on ne s'était pas lassé... non, plus rien maintenant si seulement...

Il éclate comme du cristal les bris se logent sous la peau ce souffle a été fatal l'instant de trop transpercé de pars en pars agonisant dans son hébétude une sensation bizarre ce cœur n'a pu supporter cette solitude

Les gouttes de pluie s'écrasent sur mon visage cachant mes pleurs accoudé à la fenêtre je prend ma dernière cigarette pour étouffer mon mal-être et tente de l'allumer, mes yeux perdus dans le paysage la cendre me brûle les doigts, mais je l'ignore douleur insignifiante comparée à celle qui me dévore ce sois-disant dieu où est-il à pré

Ai-je raté ma vie ? cette question lancinante j'essaye de l'ignorer je survit, rigole et souris je m'efforce de faire comme si de rien n'était malgré le doute vorace en moi je m'efforce de ramper vers le futur malgré la souffrance et les larmes malgré la nomenclature je ne serais pas un carme au contraire, je tordrais ce monde pour que cette v