Le baiser ce matin, ton baiser au goût d’amandine sacre tes lèvres « source de grenadine ». ton baiser tendre, moite, rouge carmin, une fraise sous la rosée du matin ! dans un tourbillon de frissons et de fièvre, je savoure l’éternité sur tes lèvres ; tes yeux andalous bleus, frangés de soie, se fardent de langueur miellée et d’ém

Le blog de mohamed nouri

Je te revele je te révèle aux nues pour qu’il pleuve des frissons d’amour sur les pays sevrés de tendresse depuis que la nuit aux dents d’ogresse a dévoré le jour et mutilé les caresses . je te révèle aux terres abandonnées pour que lèvent des blés et qu’ils nourrissent les enfants sans enfance depuis que la haine et l’indiffé

Saveurs érotiques quand tes lèvre s de fraise s’offrent à mes baisers, le plaisir scintille dans l’azur de tes yeux, le velouté de ton cou comble tous mes voeux et l’extase s’éprend de nos deux coeurs grisés ! se répandent ,alors, sur tes épaules nues d’insatiables caresses aux doigts de zéphyr, de mousseuses saveurs, d’indicib

L'air du souvenir l’air que nous fredonnions ensemble, le soir, tapis, toi, dans mes bras ; moi, dans tes yeux noirs, me revient, aujourd’hui, au lever du jour, des confins de la mémoire de l’amour ! de la mémoire de l’amour, me revient ta sensuelle voix chantant le refrain au rythme des vagues berçant la jetée dans le silence feutré d

Sarah l’orient, riant dans tes yeux brillants, verse ton nom sur mes lèvres et sèvre le monde de la lune vagabonde qu’il cache dans tes yeux d’aronde l de la thaïlande profonde, se lève un rêve qui sera sarah, vibrant dans l’air comme une aria ! mohamed nouri

Tempete de parfums cela fait longtemps que je vis dans un cyclone de parfums qui me pousse, tantôt vers les rivages polynésiens de tes yeux, tantôt vers les tropiques brûlants de tes bras ! ce cyclone m’ébranle à chaque aube rosée ! depuis longtemps que tu livres à ma patience titubante la bataille des senteurs, la bataille des fleurs. de

Kaléidoscope dans le tumulte de ce café en fête, le kaléidoscope de tes paroles s’agite et virevolte dans ma tête: tu me parles de toi, de ton envie folle d’écrire sur le cinéma espagnol. très vite, tes mots font le tour de mes rêves puis, tu exhales les effluves du coeur: il se met à pleuvoir des couleurs sans trêve; des gouttes de

Love and rain sous cette pluie matinale d’automne, ton minois rosit l’aube sur la plage, tes cheveux ruisselants de nuit me donnent tous les plaisirs promis par dieu aux sages ! sous ton parapluie, je t’aime en silence, dans tes cheveux, mes doigts jouent des romances; au bord de l’eau, nous avançons sous l’eau de cette pluie nous parant

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