Je navigue de la cendre sur la coiffe des pellicules sur l'épaule faites-moi jouer dans un film je serai le verre sur la table un comptoir le courant d'air sur la plage la tombée du jour sur une ville borgne faites-moi jouer dans un film je serai l'amour tapi à peine vieux un sourire le petit bois aux jonquilles neuves le vieux de prévert assis
ruraledeprose
ruraledeprose
journaliste-conseil en communication
poète-écrivain
Ses blogs
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journal des écritures
critiques d'art et littérature, humanisme et résistance, poésie, chansons
Articles à découvrir
Nous sommes des étiers sans savoir la mer des sabreurs de foins sans pissage sans révolte aucune nous enlisons l'espoir puériles prétentieux mais tout est là dehors pourtant à portée de rêve nous n'en savons plus rien il neige des prunes l'égotisme pour fanion nous perdons nos chimères à consommer à l'avoir au paraître redressons-nous
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Des forêts de pendus en galops dispersésreflets d'époques comme un fauteuil roulantbousculant le réel des directives totalitaires souvenir souvenir en tics bureaucratiqueset le ciel brunir en taloches de pluiesouvenir souvenir…des peuples sans voixune prostate de la penséej'essaie de sourire au passédes contrefaçonscet endroit où l'humani
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Par la vitre les villes sont des repaires de moineaux brûlants nos incendies anciens dans ce boyau qui file je voudrais blottir mon coeur entre des bras chauds noyer ma vie en des prunelles claires couleur de mer triste par la vitre la ville joue l'artifice compagne de mes rêves dissouts sur des pages de nuit copyright 2018 patrick pérez sécher
Chapitre 1 le grand hôtel il marche les mains croisées dans son dos, une façon de signifier, sans doute inconsciemment, que l’avenir et le présent, sont déjà loin derrière son ombre. ou bien, qui sait, pour tenir l’équilibre car la vie le penche de l’avant, il veut tenir debout sous les nouvelles averses, le poids des ans qui finissen
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Quand il se fera tard j’enfilerai une chemise blanche je vous rejoindrai au pays de nulle part du soleil plein les manches je déposerai sur vos hanches des fleurs de nénuphars et d’insouciance on peut aimer sans fin je l’oserai dans ma chemise blanche vers ce pays sans tain quand il se fera tard hier déjà recouvert de cendre le temps pend
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Bonsoir à tous, je reviens un peu sur ce blog pour donner des nouvelles. je me suis réfugié chez moi en ardèche car ce monde me va mal et j'avais besoin de renoncer à toute vanité, à beaucoup d'accessoires pour revenir à l'essentiel. je continue de participer à l'urbaine de poésie (association éditrice) sise à vitry-sur-seine et je mets
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Avant-propos de patrick pérez sécheret un homme traverse le temps depuis plus de deux milles millénaires. il serait né en janvier, 4 ou 7 ans avant notre ère chrétienne et non le 25 décembre. il aurait passé son enfance à nazareth. cela coïncide avec l’époque de la fuite en egypte avec ses parents, marie et joseph, qui se situe avant l
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Il s'empare d'un rien primesautier d'une coccinelle égarée sur la manche de son gilet gris il fait beau à hurler à chier des lys pourpre ce n'est pas grave il pleut des cordes à sauter il nage entre ciel et plomb orphelin d'amour ce n'est pas grave il fait beau en son coeur la beauté le frôle d'un oeil il cueille des chardons roses il pose p
Mon coeur ma soucoupe volante mon cerveau de secours mon amour station monge du métropolitain la neige en paletot de fortune ma prune mon soleil d'étain ma révoltante suffragette d'un temps lointain mon soleil de menthe sauvage ma camarade des anciens jours où je me suicide au vin blanc de onze à vingt entre mes mains simplement du silence des