Alors que la nuit se fait noire, froide, quelques uns bravent l'immensité. l’immensité, monstre omniprésent. je croise quelques fantômes, spectres pressé des étudiants terrassés par elle. ici est notre enfer. oui, je déambule le long des immenses bâtiments qui s’offrent tels des montagnes aux yeux des innocents. l’immensité, je marc
Jules
Jules
electron libre
Bac S section sportive rugby option arts plastiques
Hypokhâgne BL ( Lettres et sciences sociales)
L2 Humanités et monde contemporain
L3 Semestre 1 en Chine
Plein de voyage grâce aux colos
Togo 2 fois en humanitaire
animateur BAFA qualif SB
Crazy
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Articles à découvrir
Les batiments deviennent des châteaux hantés, mon vélo, une harley davidson qui sillonent les rues désertes, noires ou peu éclairées ; je n'entend que les roues de mon bolide sur l'asphalte des chemins que j'emprunte, les chocs de ferailles lorsque par mégarde, je passe sur une bosse ou un trou. les lumières rendent les buildings mystérieu
Fond d'écran chaleureux ; )
Sacré par les anglais
Un poumon. un poumon, un coeur. un flux ininterrompu de voitures et de gens comme autant de micro-organismes qui palpitent dans la rue. une artère, une artère vibrante. attire, rejette les hommes et le métal tremblant. aller et retour de bons et de biens. tout fume ici, gigantesque machinerie. la viande, la pluie ; les trottoirs suintent la vie
7 minutes, le temps que la chanson things unspoken de youssou’n dour se termine. aujourd’hui j’ai été à la rencontre de la lumière. la lumière était là, au bord de la mer. elle était là, alors que je marchais avec yiwen sur le pont, au moment où j’ai laissé le souvenir de framboises et de pêches au vin fleurir sur la mer. j’ai
Mes muscles auront senti cette semaine passer. depuis la petite, mais néanmoins réjouissante défaite de samedi dernier (19-12) contre xiamen, je me veux affuté physiquement. alors les séances de course, sprint, kick s’enchainent. endorphine, retrouver mon corps et mon esprit. je pense de plus en plus rugby, et je m’en porte bien. alors hie