Nuits de grandes marées, a l'infini les vagues sautent, se chevauchent, frappent à grands coups, assaillent, vaste humeur gémissement, longue plainte douloureuse de chocs sans fin, eclaboussement de brume brouillard des mers, le ciel est bas! les maisons, lumière éteinte, volets fermés, attendent des jours meilleurs! la mer a besoin de temps
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27/07/2010
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Lifestyle
Articles à découvrir
Assise sur le bord de la margelle de la piscine municipale, martha regarde les nageurs et les nageuses têtes lissées dans leurs bonnets caoutchouc. certains passent et repassent non loin de ses jambes pendantes. les enfants sautent, s'éclaboussent sous l'oeil réprobateur du maître nageur. -tu vas voir ce que tu vas prendre pense-t-elle! martha
La propriété semblait paisible le barbecue fumait paisible, lui aussi, les enfants jouaient encore dans le jardin le soleil, dernière escale furtive sur les tuiles, s'orangeait, se rosait dans le mauve clair du soir eternel mélange arc-en-ciel, eternel olympe, voile majestueux, ô charmes vieillis et surexposés des instantanés! se fondre dans
Un tout petit extrait du livre de christian bobin "le très-bas" ...le treizième siècle est le siècle des croisades renards contre loups musulmans contre chrétiens ils descendent tous du même père enterré sous la bible abraham. ils s'en disputent la dépouille avec leurs dents. la religion c'est ce qui relie et rien n'est plus religieux que
La nuit est sombre autour du clos marie la fôret brune s'étend coup de vent dans l'arrière-pays et fouette et claque tremble la terre tremble l'élément sous ce coup de vent effrayant! tombe du ciel l'épouvante: eternel accent fureur gémissante siffle le vent!
Sur les bords de l'amour la nature s'engourdie l'aigle au ralenti dans la première brume de ce matin laiteux azure et plane vers sa proie cri lancé! tandis qu'il se recroqueville autour du poële céramique disparue peuple du silence peuple de l'oubli sur les bords de l'amour vaste plaine de sibérie le temps grelotte et pleure...
De chaque côté des barbelés les enfants jouent! qui ira le plus loin? qui ira le plus haut? prise entre ses deux fleuves l'étoile de david chante ses cantiques, blanc, vert, noir, rouge fierté du sang, le vent claque de chaque côté des barbelés. les enfants rient, parlent aux hirondelles pierre brûlante du pays tant aimé! ouvrez vos voli
Il effleure ma main touche mon épaule exquise sensation voluptueuse apogée n'est-ce point un rêve que le corps de cet homme point d'interrogation... mais qu'il se taise qu'il se taise donc murmure mon coeur epuisé dans les murs sombres de mon royaume caramel point d'exclamation celui que j'aime promène nos rêves sur les bords de la seine tris
D'un air quelque peu ironique il faut bien le dire, sourire entendu, quelqu'un, un beau matin me tendit un vieux calepin. tiens pour écrire tes poèmes! mes poèmes répondis-je un peu interloquée, l'humilité me va bien! je n'écris pas des poèmes, juste des mots, juste des ressentis, juste quelques petites histoires dans une forme plus ou moin
Il est dans l'air du temps de pianoter sans cesse sur les claviers aux quatre feux de nos cuisines si bien aménagées! des recettes plein la tête pour nous détendre, nous jouons sans cesse, afin d' être le meilleur pianoteur imagination quand tu nous tiens entre agneau sauteur, mesclun torturé! j'aime écouter les mélodies envoutantes d'autre