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Voici des années que je le regarde attendre, immobile, planté derrière la barrière de son pré. il paraît solide, en état, abreuvé et nourri. il n’a donc pas fini d’attendre. sans abri, et sans repos non plus, d’ailleurs, puisque son mouroir est pentu, bien assez pour qu’il lui soit impossible de s’y coucher ni de s’en relever. p