Je cherche le soleil au milieu de la nuit j'sais pas si c'est la terre qui tourne à l'envers ou bien si c'est moi qui m'fait du cinéma qui m'fait mon cinéma
ribouleau
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01/03/2015
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Littérature, BD & Poésie
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Un jour, je l’aperçus sur les grandes allées, la terre, de nature grise, se colorait de couleurs chaudes, où brindilles et feuilles mortes s’envolaient au doux vent d’octobre. sous ces arbres, aux feuillages rougit par l’arrière-saison, je suis tombé sous ses charmes, femme de rêve, aux pas heureux. sous ces arbres, il y a longtemps,
Ce matin là, mes yeux encore endormis se posèrent sur un visage souriant. un beau regard lumineux des matins bleus ; ces doux matins où tout paraît merveilleux. des yeux pareils à un immense océan d’un bleu aussi vert et d’un vert aussi bleu. un sourire candide qui fait rire le cœur un soleil d’été qui baigne de sa chaleur. chevelur
En apesanteur , ondes clairesles yeux clos , elle flotte vogue ,légère, libéréema douce naïade. miribab* photo d'art:mira nedyalkova
Il y a le bruit des crampons sur le carrelage et l’odeur de l’huile camphrée. minutieusement j’enfile mon short, ma chaussette gauche ; toujours la chaussette gauche en premier ; puis l’autre, petits massages sur les épaules et le dos par le père gaby, ensuite bien masser les jambes avec l’huile camphrée, quelques mouvements des épau
The sound of silence
bonjour, obscurité, ma vieille amie je suis revenu te parler car une légère vision insidieuse a laissé ses graines pendant que je dormais et la vision qui a été plantée dans mon cerveau subsiste toujours dans le son du silence dans des rêves agités, je parcourais seul des rues pavées et étroites sous le halo d'un r
"ne ferme pas les yeux je suis de ce côté de tes paupières" louis aragon
Il pleut dans ton regard des gouttes d’espoir qui peu à peu réveillent le cœur comme les giboulées de printemps réveillent la terre. miribab*
Et puis un jour, le bouclier...il y a le doute, les frissons, cette envie folle d'être sur le pré, ce moment intense dans ce lieu secret, ces minutes si longues mais tellement précieuses, ce coup de sifflet qui ne vient jamais, le bruit, les souvenirs, la famille, tout devient si fort. alors, le torrent dans les yeux tu fixes une dernière fois
Il repense souvent au temps des roses et du jasmin, il lui prenait la main et l’emmenait au loin, ils marchaient à perdre haleine, par monts et par vaux, pour isoler leur amour. elle étirait son corps svelte sur ce vieux banc où avec tendresse elle lui souriait. mais le banc est resté vide ce matin. quelques passants le pas lent vont en discu