[textes autobiographiques 2016, sur mon papa. (c'est un peu le bordel dans mes dates de publication, mais je vide mes documents, donc l'ordre d'écriture n'est pas respecté, promis par la suite, on y verra plus clair)] c’est bien moi sur cette photo avec les cheveux courts, en partie méchés d’un blond jaunasse. derrière, il y a une peinture
Tamina
Tamina
Il me fallait un lieu où partager les textes de mon cru, pour les proches et tout. Le voici.
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20/02/2015
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
[fragments autobiographiques trash, 2016.] quand je suis rentrée chez moi, en début d’après-midi, j’ai ressentie une énorme fatigue. j’étais vidée. je me suis couchée, tout habillée, j’ai dormit deux heures. le réveil a été douloureux. l’angoisse était là, toute entière. sensation d’étouffer. besoin d’air. d’un nouvel
[autoportrait écrit en 2016. autobiographique, donc. comme tous les trucs autobiographiques, je les range dans la catégorie "fragments", car ils sont les fragments d'un truc plus grand "ma vie, mon oeuvre". plus sérieusement, j'aspire à rassembler tous les fragments, un jour, pour en faire quelque chose. on verra quoi.] marchant dans la rue, je
[nouvelle courte, mon chef d'oeuvre de 2015. je dis chef d'oeuvre, car avant ce texte produit pour un atelier d'écriture, je n'arrivais pas à structurer mes récits. je faisais beaucoup d'aller-retours, des dedans-dehors, etc. suite à ce texte qui m'a peut-être pris une douzaine d'heures, j'ai "débloqué" un truc chez moi. depuis, mes histoire
[nouvelle courte, trash, écrite en 2015 pour une consigne d'atelier.] qu'il baise ma mère, soit. j'avais les boules, mais j'ai fermé ma gueule. qu'il s'installe chez nous pour la baiser, c'était autre chose. mais j'aime ma mère. je la respecte. alors, j'ai fermé ma gueule. j'ai fermé ma gueule pour le sommier que j'entends faire ses couic-co
[premier texte fragmentaire écrit en atelier en 2016.] brouhahaha dans le tram. tous les sons se mélangent. incompréhensible. bruits de termites. je pense à la gueule du patient, grande ouverte, cherchant désespérément à trouver de l’air. j’entends encore l’affreux gargouillement que produisait sa gorge encombrée. assourdissant, immo
[poésie écrite en 2016, en atelier. c'est censé se clamer comme du rap. ca fait partie des textes frais que j'affectionne parce qu'ils me paraissent hs. nb : c'est drôle parce que je n'ai aucun goût pour la poésie et que ce blog en contient beaucoup.] ecrire un poème qui se vende. un poème ajax 2 en 1 qui détartre la césure de l’alexand
[fragments autobiographiques écrit en atelier en 2016, sur mon papa.] je me souviens de la lumière blanche qu’il y avait dans la buanderie. ma mère m’annonçait que l’opération pouvait le tuer. je me souviens de mon indifférence. je me souviens de l’odeur de l’amandier en fleur ce jour où papa est rentré de l’hôpital, appuyé su
[nouvelle,auto-fiction sur mon papa, écrite en 2016 dans le cadre d'un atelier. vue la forme du texte, je ne peux décemment pas ranger ça dans "fragments" car on est plus près de la fiction. j'aime beaucoup ce texte, je l'ai offert à ma soeur.] il semblait bien inoffensif dans cette lumière du mois d’août, installé en bas des marches de l
[nouvelle autobiographique trash, 2015] un des deux garçons te colle contre le mur de la maison. le crépis te griffe le dos. il est près de dix heures du soir, papa va s'inquiéter. il faut que tu rentres. tu ne sais plus ce que tu fais là. il y a ce type qui se rapproche de toi et qui te caresse le visage. il y a cet autre mec qui guette la ma