Qui n'a pas admiré son père ou son grand-père au volant, alors même que, parfois, son appréciation du code de la route était discutable ? nous sommes souvent grisés par les virages qui s'enchaînent et se déchaînent. il s'agit bien là d'une conduite à risque, sans jeu de mots, qui trahit chez nous tous la crainte de la mort, une crainte
Morellec Philippe
M
Morellec Philippe
De la culture avant toute chose
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Histoire de Famille
La vie, le Bien, le Beau, l'aventure, le quotidien ... être comme tout le monde : ne ressembler à personne

Articles à découvrir
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Voilà vois là la voie la voile voile ou voir ? l’évidence danse dense ou transe anse ou pense ? etre par être paraître peut-être en-tête de paître ? vis en vie en vis âgée envies âgées ? terre à terre en pare-terre partie-têtière ? bernique et chocolat voilà ! mais pas que … hume hour, humeur
Sur ton cœur battu de rêves sur la grève sur nos lèvres sur l'instant qui résonne je respire ton nom sur les couleurs de nos drapeaux sur les cris de leurs bravos que l'espérance frissonne je loue ton nom sur la coupe du chalut sur le filet du salut oh l'ivresse des si sages je puise ton nom sur le vers jailli d'écrin sur le vert
Il est chez moi si je vis chez lui lui sans instinct, moi sans écrit qu'il sommeille, je m' éveille qui suis-je? en la peine attente pleine lune aimante joliment soleil qu'attendri la nuit sur les ailes pures airelles sous le vent l'azur d'icelles tourbillonne l'haie sans ciel
Mgr luc ravel, évêque aux armées, écrit dans la revue diocésaine de février 2015 quelques réflexions après les attentats : « la guerre. son nom est aujourd’hui prononcé. mettre un mot sur la réalité est gagnant. mais de quelle guerre s’agit-il ? dans toute guerre, la tendance facile consiste à se mettre dans le camp du bien contre
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L’être m’autorise à écrire ce qui seulement de paraître ou de paroles ne consent ce qui du dehors est absent, omniprésent au présent intérieur, voici l’heure calme, pacifiée, présentée en maturité d’instants continués, intériorisés au présent de papier, l’être lettré, l’être en vérité est capacité d’écrire et dir
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Table impériale
impérials hôtes tels du palais dans la perspective immense du vitrail à la baie qui en table disposée de bougies etincelle l’argent de nos regards éblouis. délice du temps, fugace présent en partage précieux d’inchoatives pensées subtilement ordonnées privilège d’être d’une mémoire de quête inachevée histoire
Il existe, en poésie, au moins deux catégories d’écrivains : les auteurs de poèmes, et puis disons des sortes de marcheurs. les premiers sont éminents ; ils déploient un art superbe, versifient, traquent l’hémistiche, riment, nous enchantent et lèguent en gage leur précieux héritage. les seconds tintinnabulent l'âme dans l'espace-tem
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Moi, président, j'aurai défiance des pauvres et préférence des dents j'aurai le privilège des rois de m'octroyer les favorites de mon choix moi, président, je hisserai mon drapeau dramatique pour draper de vertu patriotique ma compassion édiatique moi, président, au nom de la liberté d'expression, jamais d'amalgame entre ceux qui prient et
On lit peu de poésie de nos jours. trop peu. nous avons trop oublié que la france a inventé la rime et le roman. oublié que poésie signifie d'abord héritage, loin d'une comptine abandonnée aux étagères, aux récrés, ou autres lettrés. ne plus l'ignorer, c'est décidément reconnaître que la poésie donne si on la reçoit, qu'elle vit si