Thierry Pernin
Thierry Pernin
Journaliste
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271
Depuis :
30/08/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Elle était ma joie de vivre la mère de nos enfants et désormais bateau ivre cargo rempli d’éléphants je traînasse sur des friches où rôde mon âme en peine tu resteras mon fétiche le roi a perdu sa reine face au vide qui s’installe que subsiste-il du passé une enfilade de stalles sièges de bois délaissés usés par tant de prières
Pourvu que le ciel me garde je suis parti ce matin et que la lune ne tarde qu’elle éclaire mon chemin pied droit pied gauche je marche avec mon chien ma besace bien assurée ma démarche je ne manque pas d’audace comme le mat je suis libre un peu fou et parfois sage dans un parfait équilibre défilent les paysages pourquoi j’ai quitté louh
Je suis rentré dans la cour ferme forte du leumont quand la roue a fait son tour j’ai pris l’air dans mes poumons debout au centre du monde je voyage dans le temps seul mon esprit vagabonde surtout ne dis rien attends trois cents années en arrière sans frais de déplacements récitiez-vous des prières et quels étaient vos tourments charles
Tu vois j'ai tourné la page et si je te fais des cadeaux ce n'est pas un dérapage mais bien un baisser de rideau en expectance des trois coups annonçant une belle histoire une comédie qui secoue qui se fixe dans la mémoire quelque chose doit arriver on ne sait ni où ni comment malgré tout un instant rêvé nous dirions un événement si l’
Albeck bei sulz am neckar 1640
arrivée après tout le monde non personne ne l’attendait style italienne mais blonde face à tous ces regard de biais et si certains la connaissent d’autres semblent dérangés quand les doutes apparaissent on va peut-être abréger pourquoi est-elle venue ne serait-ce qu’un fantôme sa beauté est soutenue c
Un faucon crécerelle sur le trottoir à côté de la cathédrale de metz en moselle photo : le républicain lorrain
tombé du ciel par mégarde présentement devant vous pourvu que le ciel me garde me préserve du matou j’ai quand même freiné ma chute n’est pas crécerelle qui veut si vous me laissez cinq minutes je vous livrerai des aveux
Douze sont les chevaliers autour d’une table ronde un serment les a lié unis à travers le monde un seul homme règne en chef sir arthur roi de bretagne aucune joute en son fief la confiance se gagne égalité souveraine fraternité qui couronne l’amour écarte la haine personne ne fanfaronne qui succédera au roi sujet à l’ordre du jour de
J’ai toujours marché dans ma tête peu m’importe le confinement à jamais un anachorète allers-retours jusqu’au firmament souvent le regard en témoigne c’est mon père qui fait la photo pour parer aux foires d’empoigne je saurais faire le zygoto il faut dire que je suis deux « je est un autre » s’écrie rimbaud nous vivrons longtem
C’est à ton âme que je m’adresse il doit bien survivre quelque chose souviens-toi ces moments d’allégresse les senteurs de ton jardin de roses tu es partie ce vendredi un peu avant le feu d’artifice complètement abasourdis respect madame la directrice s’offrir un bouquet final le soir de son grand départ le cas est tout sauf banal to
Quand je te vois sur le frigo je me dis que tu n’es pas loin là je me sens un peu dingo mais il n’y a pas de témoin dieu que la photo est glamour même si l’amour n’est plus là autant le dire sans détour mon horizon manque d’éclat j’ai quitté notre dernier nid celui où tu as tant souffert qui mal y pense soit honni c’est ma tra