La pierre et la marguerite froide, immobile et grise dans ce champ fleuri une marguerite s'offrait magnifique aux rayons impudique ses cheveux aux vents, herbes frétillantes rousses dans les clairs matins recouvraient ses pieds de mousse. le pissenlit, à son regard, cherchait en vain le pétale d'une autre soeur, frêle main. elle vit, oh! geste
Nicsav
Nicsav
Amoureuse de l'art sous toutes ses formes. J'aime lire , écrire, composer des poèmes ou autres écrits, faire des critiques de livres . J'aime aussi faire des mots croisés et jouer au scrabble.Je fais de la peinture à l'acrylique,à l'aquarelle e
Ses blogs
Le blog de Nicole Savard
Mon blogue renferme mes poèmes et mes oeuvres en peinture.Il ya aussi des critiques de livres et mes recettes préférées.
Nicsav
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Depuis :
03/04/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La course vers l'horizon toujours épris de fortes émotions vivant pour de nouveaux horizons son coeur se plaît dans la mélancolie aux accès très vivement ressentis. son besoin de changement excessif le prive de solides amitiés, son désir d'étonner les gens à vif dénote sa puérile vanité. travestir toute vérité sans honte sans même v
Je peins je peins pour que coule sur mes doigts la vie. je peins pour que roule sur les mains l'infini. je peins pour que glisse sur mon coeur l'esthétisme. je peins pour que ruisselle dans mes veines, l'essentiel. je peins pour que brille dans mes yeux, l'indiscible dans mon âme sensible le fruit de mes amours puérils.
Dernier regard cruelle décision, cassure à jamais réparée l'anneau au doigt s'est échappé dans l'oubli, il restera figé comme pierre tombale à mes pieds. je ne verse pas de larmes le coeur a trop pleuré d'espoirs déçus il parle pour cacher l'âme troublée. un papier, une signature un regard sur le passé et voilà que la blessure s'ouvr
Jardin fané o terreur.ô terreur de la nuit o douleur,ô douleur de la vie le temps a mis en friche mes joies et désirs les plus riches mon esprit est un jardin tari il n'y a plus de fleurs en allées colorées par le vent ,magnifiques mon coeur au fil des ans s'est flétri il ne reste qu'un soleil pâle balayant ses rayons sur ce visage amoindri
Par la fenêtre j'entends l'hiver gémir par ma fenêtre. le vent , dans une course effrénée, dans une envie folle, irraisonnée dépose des nuages de neige, reître sur le sol, les sapins de ma maison. un long sifflement, complainte saisonnière, rappelle aux mortels l'appel déchaîné, dans cette morne et lugubre nuit, des éléments naturels
Ma joie j'ai un petit-fils qui fait toute ma joie j'ai un petit-fils qui met mon coeur en émoi il est tendre, aimable et câlin en son âme, rien n'est malin. je l'aime comme on aime le printemps frais dans son habit aux frêles fleurs il me parle, me sourit gentiment. au cadran des jours s'écoulent des heures joyeuses, remplie de fraîche gaiet
Le coeur "rien n'est plus tortueux qu'un coeur. il se nourrit de mensonges éhontés bravant par monts et vallées, fiévreux les degrés de l'hypocrisie sans peur, sans vêtement de dessous abîmés par des regrets suspicieux. pourquoi les passions chez l'homme ? pourquoi tant de dérèglements? pourquoi vouloir souffrir autant ? dévorer avec fol
Monument funèbre brûlée vive au bûcher de l'école où violence, haine et hostilité règnent en maître absolu je m'en vais mourir dans l'anonymat le plus pur au calvaire des jours sauvages. j'avais un coeur, on l'a meurtri paroles grossières, flèches acérées visant à crever toute stabilité. j'avais une âme, on l'a méprisée rires frus
Autant en empre le vent le temps , implacable ennemi, impitoyable adversaire. je lutte sans cesse avec lui mais jamais ne réussis à le vaincre. il est là martelant ma vie de coups quasi mortels je reste là pantelante entre ses son coeur de pierre. le matin il me voisine cruel, dans un appel pressant ; je ne lui dis pas bonjour mais obéis à so