Eloigne-toi plus encore que les bords du ciel les draps protègent tes chairs que les plis font si tendres où viendront déferler les jours opprobres des poussières de silence tes bras qui s'épanchent les lignes de ta main sois sans le doute sans perler d'eau salée des hérons qui se moquent les braillardes s'en vont déplorer la nouvelle survo