Ii couloirs de la faim je me souviens des portes qu’on m’ ouvrait les fleurs de l’amandier sur mon visage pour libérer l’enfant des retours chagrins l’écho portait vos dimensions au-delà de mes fins je traquais celle qui vous a nommés je me souviendrai de cette heure de l’eau maternelle le soleil saigne le ventre d’une femme celle
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ChouArdent1214541
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04/11/2014
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
À m. e nous sommes la même chose nous et le feu d’un souvenir je t’attends le visage du soleil dans ma nudité je me remplis de foules embrasées par la respiration des gares te traverse de distances gravé le nom d’un monde qui n'a jamais commencé le nom d’une fièvre et de routes de routes une ombre andalouse le bruit de la mer contre
J’ai perdu le nom de cet arbre dans ton sein comme un feu, d’une autre revenante aux ailes rompues par le reflet des insomnies. et perdu le nom de ce sein où le temps grandit, où le vent réveille les lampes rêveuses chaque minuit de leur royaume, perdu dans un lointain murmure, quand je ne sais plus m’attendre, ni laisser le cœur visiter
A e.m entre un soir et d’autres encore un souvenir ou ce qui ressemble à un voyage nous faisons nos sacs sans y regarder inventons une heure de méditation devant une photo d’été là une marque d’une rencontre et les éclats d’un soupçon essuient le silence de la salle dans les yeux le reste d’un verre que voir derrière un voyage le
I l’instant était un livre contre les vents du probable et du mythe le seul voyage à donner mon corps: les branches secouent le feu entre mes plis bleus des terres en bleu: la matinée dort encore avec mes nuits premières et c’est le nom discret d’une étoile par bourrasques sur ma peau bleue: les fenêtres secouent le feu des yeux les voi
Tous les jours, tu changes différence détachée du reste, des détroits vers le reste que l’océan emporte. je cherche tes traces à l’écoute du vent, rien ne me parvient. je n’ai pas ton histoire, j’ai cru peut-être en avoir, cru te définir. les reliefs caressés sont faux, une peur du vide m’enveloppe. si tu veux, tu vivras les ét
Si tu es ma première caresse sois larme lave le mur des exécutions sois déjoue le jour glissé secrètement poison dans un lit sans sommeil celle qui lie mes deux rives perdues dans l’encre des dilemmes mets un masque à la nuit attends s’effriter les frontières les étoiles tomber dans le verre de notre épidémie des hymnes à l’obéiss
Dans tes bras tu suspends ton âge de fièvre les grains d’une ville où les meubles rangent la mort faux arrêts et le piège des lumières annoncés de loin il faut feindre l’appel qui ne vieillit pas réveille les cimetières encore sur les murs alignés plantés dans ce siècle des choses rien pour jeter au feu la chemise des couloirs funé
Avorter les jours au ras des aveux guetteur de villes prononcées contre les hommes que la lumière soulève nourrit de leur rien discret frissonner feux vivre faims dans le dégout des solitudes à l'ombre de mes ailes comme les parenthèses de la folie où les lumières piègent la lumière dédiée aux fleurs d'une nuit pays des enseignes meurtr