« l’amour » l'amour veut être en haut lui seul rend léger le fardeau l'amour veut être libre. libre, rien ne le retient l'amour vole il court, se réjouit l’amour à envie de chanter il vient lentement et devient insatiable l’amour source de pensée l’envie de se faire caresser appât de la volupté soie noire déployée l’amour care

Après avoir langui dépouillé du voile de l’illusion une lumière initiatique jaillit elle s’oriente vers le point d’horizon revivifiée d’une nouvelle expression la parole perdue est retrouvée intelligence et affection rayonnent dans une immuable fixité le jour se lève dans mon esprit la clarté révèle sa réalité la vie sort du to

Etat de conscience altéré silence imposé à ses pensées petit a petit il a décodé le vent souffle dans les mots de la lumière lumière est transportée sa main commence à danser main intime pour guider il extirpe de son âme l’écriture sacrée infaillible vérité se couche sur le papier messages venus d’ailleurs traversent la page en

Belles poétesses aux cœurs détresse voix de l’émotion voix cédant à nos silences elles ne sont qu’une chanson leur cœur-amour roule sur un piano un clavier de mots de l’aube indigo elles l’envoi la partition aux notes chargées de frissons messagères d’amour et de passion leurs esprits errent dans le vent les mots sur leurs lèvre

La plage des songes loin du monde diabolique pourrais-je, un soir mystérieux, sentir, dans les divins milieux cette odeur mélancolique moroses et vieillis et que, surnageant aux oublis s'éternise avec ses charmes ; d’une jeunesse sans souci fleuri de lys d'innocence au jardin de l'enfance. viens me retrouver jeunesse en ce pays de lieds et ten

Tout au loin dans la brume ! une cloche ! des sons sons, tintant au chant d'un chœur étrange étrange gémissement noir des nocturnes frissons. frissons geignant, funèbres et monotones monotone, je reste là, morne, avec les yeux pensifs j’entends en moi des marteaux convulsifs. convulsifs, tintements dans les brouillards d'automne automne ren

Le testament de l'initié de rudyard kipling je ne suis qu'un homme parmi les hommes, mais j'ai répondu sous le bandeau et j'ai gravi les trois marches. j'ai vu l'étoile flamboyante, j'ai fait le signe. je suis un maillon de la chaîne ! la chaîne est longue. elle remonte jusqu'au siècle d'hiram, et peut-être plus loin encore. on trouve notre

Le temps et le silence le commencement est un silence aujourd’hui je vais embrasser mes souvenirs demain sera le rêve de cette journée qui vient tout juste de commencer tout commence dans son silence premier instant, de l’espace temps tous deux restent immobiles silence écoute dans son cœur le cœur du temps pour découvrir les secrets de l

« le miroir du maître franc-maçon ». a la porte du midi, furieux coup d’équerre, il est trahi. a la porte de l’occident, le blessé chancelle, tout se désunit. définitivement éteint, plus la moindre étincelle. au neuvième jour, région nord. truelles qui creusent, encore. enfoncé, en une terre fraîchement remuée. rameau de bon augu

Félix par ton hublot la haut si tu voulais descendre que je te voie de près, si tu voulais m’entendre, moi qui te crie après, depuis que je te suis, depuis que j'ai la vie j’ai compris que tu aimais la gaspésie c’était pour toi un paradis tu souviens tu y’ avait le petit bozo le fils du matelot tu te souviens de tes paroles je m'appell