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Johanna Coppée

Johanna Coppée

Le poète n'a besoin de rien prouver ; la seule preuve réside dans l'intensité de son émotion.

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Joh Hope's Surreal Pictures

Photopoésie surréaliste
Johanna Coppée Johanna Coppée
Articles : 6
Depuis : 07/11/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Johanna Coppée Auteure

La poésie est un territoire où toute affirmation devient vérité. Le poète a dit hier : "la vie est vaine comme un pleur" , il dit aujourd'hui : "la vie est gaie comme le rire" et à chaque fois il a raison. Il dit aujourd'hui : "tout s'achève et sombre dans le silence" , il dira demain : "rien ne s'achève et tout résonne éternellement" et les deux sont vrais. Le poète n'a besoin de rien prouver ; la seule preuve réside dans l'intensité de son émotion. "Milan KUNDERA: La vie est ailleurs"
Johanna Coppée Johanna Coppée
Articles : 436
Depuis : 16/05/2011
Categorie : Littérature, BD & Poésie

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Recueil poétique: " Psychédéliques Projections"

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Et si nous parvenions à créer ce monde où chacun pourrait y exprimer ses sentiments, aussi singuliers fussent- ils, sans craindre le rejet impalpable mais évident d'une société réduisant ...
"Mascarade"

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Saperlipopette! guinguette en tête,les biquettes halètent encore sous ta houlette, défaite; amulettes sur banquette, coquettes galipettes?une silhouette sans gourmette hoquette. béquetant cette moquette en barquette,mouette muette étiquette sa socquette blette; sornettes? braguette aux oubliettes,tes courbettes aigrelettes hébètent toute req
"Tire, Ris: Faillis-tu?"

"tire, ris: faillis-tu?"

Dès l'aube, epine se grime avec peine, migre, s'escrime à l'impair: est-ce un crime opime? kkôl sous contrôle et frémi d'aise, saule urine, prime son imper, salue aubépine puis frime : "magne, anime ta matinée, tapine! cet état mine etamine la magnanime qui, inapte, patine." ô délice! loin de la routine, des lys ouirent résine mégir une
Équivoque absurdité

Équivoque absurdité

Respire tes rimes et mime ton martyr extime que nous déglutîmes ô ultime soupir ! nulle flagrance passionnelle n'expira ni ne transpira jamais l'évanescence spirituelle, la satyre dissémina ici chaque aura décimée par l' expérience factuelle ô non-dire. au diable donc fusionnel enfer ! un vautour amer laboure tout imaginaire instinctuel...