Premier passage à digoin, début mai. pont canal, petite ville, fleuve majestueux. tout bien, quoi! le commun des mortels doué de réflexion écolo se lamente sur la présence envahissante des algues dans le fleuve, son embouchure, ses côtes, ses plages... en passant sur le pont-canal, à la belle heure de la tombée du jour, nous, on y voit de

Ce qu'on a le temps de faire entre 2 écluses sur le canal de bourgogne: * rien. * commencer la lect... rien. * repérer la prochaine écluse, toute proche. * mettre le café sur le feu (et mince, il va passer pendant la manoeuvre!) * rien. * lire une lettre de la correspondance "lettres d'un homme à la femme qu'il aime pendant le siège de paris

Nous avons bien aimé les éditions précédentes! nous revoilà à bord, pour une saison nouvelle de notre série préférée. depuis la mi-avril, j'ai stocké quelques-unes de nos expériences, en attendant d'avoir 1° le déclic "blog de cette année" 2° une connexion digne de ce nom 3° tout le temps qu'il faut, non mais c'est qu'on est débor

Nous venons de passer de beaux moments de juillet à terre, dans le sud, enfin plus au sud que la bourgogne! a la rencontre de femmes du passé, et de celles qui nous sont chères ... invités chez pauline (de caumont), je recommande sa page facebook... aix, pour nos mois d'été de toute éternité... hôtes intimidés de béatrice (ephrussi de ro

... mais un caddy perché. on fait ce qu'on peut!

Cheveux au vent, mais pas sur une grosse harley, des musiques rétro nous chatouillent les oreilles... même pas gênés par la poussière! les yeux mi-clos, mais attentifs tout de même... notre traversée à nous, de la bourgogne: le canal - et pas le long ruban de route à perte de vue, de saint-jean-de-losne à migennes - et pas de chicago à s

Canal de briare. la pluie, parfois (mais pas que). les vélos une fois protégés par ces belles housses jaunes, on a sous les yeux l'inévitable souvenir des librairies parisiennes.. paris, quand tu nous tiens ! ps: j'ai beaucoup plus que 2 amours, évidemment... dans d'autres chansons.

Et toujours le plaisir d'être en vue de notre chère colonne de juillet, et d'avoir, nuit et jour, le nez dans les étoiles, comme le génie. génial! si près de chez nous, on court à montreuil, pour mettre aussi le nez dans le lilas blanc et la glycine. et y accueillir aussi notre batshé polaire (espèce batshé royale, pas batshé adélie, ni

Avril, le 27. avon. amarrage. aimantés bus pour aller au château on y retrouve, et notre fidélité est largement récompensée: la transparence de la lumière, une infinité de couleurs en palette subtile, une sérénité ... renaissante. merci françois!

Dans ma quête insatiable du bleu le plus bleu, de la quintessence du bleu, de ce bleu qui sera bleu point final: voici, admirée dans une vitrine du musée du costume de scène de moulins, présentant une expo fort belle sur l'opéra comique, voici donc: une robe bleu orage. c'est la robe de manon, bien sûr! et parce que cette couleur m'est rest