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Nanou6214

Nanou6214

A la création de ce blog, je cherchais le bonheur. Maintenant, j'essaie de vivre en souffrant le moins possible. Chaque belle journée, chaque beau moment est un cadeau.

Ses blogs

La vie est un méandre

De mon enfance jusqu'à aujourd'hui, en passant par l'adolescence. Avec mes moments de mal-être, de déprime, de dépression et même de désespoir. Des moments de bien-être et de bonheur aussi. Et pour détendre l'atmosphère, quelques photos de mes vacances
Nanou6214 Nanou6214
Articles : 239
Depuis : 14/11/2005
Categorie : Beauté, Santé & Remise en forme

Articles à découvrir

Pour quelques minutes

Hier, la journée a commencé en pleurant. réveil, chemin de la gare, train. en pleurant, c'est un bien grand mot. des larmes discrètes étouffées sous un mouchoir. les larmes d'un trop plein de plus de deux ans de demande de précisions de mes tâches au travail, d'un poste supprimé dont le travail me revient à 100% pour une personne dont le
Et finalement

Et finalement

Et finalement, si quand même je n'avais pas tout raté... si j'avais rempli quelques objectifs de mes bonnes résolutions de rentrée... même partiellement... un nouveau psychiatre vu, même si -en raison de ses tarifs- je ne sais pas si je pourrai la voir sur du long terme. mais de toutes manières, il me fallait bien déjà quelqu'un de fiable

Y retourner

D'un côté, me dire que dire les choses dites oralement ne sont pas suffisantes, que seuls les écrits restent. mais qu'il faut quand même prendre le temps de parler même si lesdites personnes feront la sourde oreille le temps venu. et garder des traces écrites, intangibles. j'ai fait les deux. que sait le drh himself dans ce navire où chacun
Avancer...

Avancer...

Faire taire ces voix négatives, ces choses entendues qui sont autant d'entraves à mon bien être. vivre avec tous ces traumatismes, ces drames, finir de les apprivoiser, d'aménager ma vie pour cohabiter car l'oubli reste impossible malgré tout. apprendre à s'aimer, à croire en soi, à croire aux autres aussi. ne pas faire trop confiance aux a

Repos

Hier, visite à la médecine du travail à la demande de l'employeur. bon déjà ils découvrent que vu mon statut de travailleur handicapé, ils ont oublié de me convoquer il y a 6 mois. et ensuite quand je dis que je suis en arrêt depuis la veille et jusqu'au lendemain, qu'ils n'auraient pas dû me recevoir mais puisque je suis là. au final, j

En quête d'un psy

Il faut que je me retrouve un psy(chiatre)… enfin il faudrait… oui sauf que… je veux mais… pourquoi déjà je ne souhaite pas spécialement continuer avec celui que j’ai actuellement ? parce que je n’ai pas l’impression depuis plus d’un an et demi d’avoir commencé quoi que ce soit. bien sûr il y a eu des avancées. mais grâce

Avenir incertain

A l'heure où certains perdent leur vie, laissant derrière eux femmes et enfants, une belle carrière et surtout l'envie de vivre, je n'ai même pas honte de crier ma tristesse, mon impuissance, face à ce monde. a ces choses dérisoires que je demande. juste pour que ma maladie soit supportable, à peu près stabilisée. les délégués du person

Epuisée

Une semaine 1/2 d'arrêt mais de plus en plus épuisée. je n'ai rien fait chez moi des tâches ménagères. une collègue m'avait dit du mec au boulot qui me refile son assistanat : "il te vampirise". je crois qu'elle ne pouvait mieux choisir son terme. je retourne lundi au travail. on me fait une fleur puisque je suis dispensée de congrès. s'"i

J'aurais tellement préféré...

J'aurais tellement préféré ne jamais faire de retour ici. j'ai voulu croire que la vie sans angoisses n'était pas une utopie. que cette vie là était pour moi aussi après tant d'années de souffrances. mais me voilà rattrapée. qu'ai-je foiré pour en arriver là ? suis-je devenue aveugle pour ne même pas le voir ? je ne veux pas, je ne veu
Dans le silence de ma tristesse

Dans le silence de ma tristesse

Quand la tristesse me paralyse sans raisons ou presque. parce qu'il y a des raisons et qu'il y en aura toujours si on en cherche mais qu'en soi, rien ne justifie cette atteinte, cette douleur, ce poids. quand la tristesse m'anesthésie sans crier gare, me laissant silencieuse, muette, incapable d'expliquer le pourquoi du comment ni même ce que je