Pour icelles et iceux qui ne connaissent pas mes contes du quanta, je précise qu'il s'agit de nouvelles où le bizarre se dispute avec le hasard, le quantique avec le binaire, entre autres trucs mystérieux, voire machins impossibles. ce sont des textes intéressants (ou pas) qu'il convient de lire calmement, en les sirotant et surtout, en se gard
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Martin-Lothar
Le loup peut très bien se passer des hommes ; l’homme ne peut pas se passer des loups. Oû serait le plaisir ? (Alexandre Vialatte)
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07/01/2008
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Littérature, BD & Poésie
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« il y a une métaphore que les modernes aiment beaucoup ; ils disent toujours : vous ne pouvez pas remettre l'horloge en arrière. la réponse simple et évidente est : vous pouvez. » […] de la même manière, la société, étant une pièce de construction humaine, peut être reconstruite sur n'importe quel plan qui n’a jamais existé. » (
Pour icelles et iceux qui ne connaissent pas mes contes du quanta, je précise qu'il s'agit de nouvelles où le bizarre se dispute avec le hasard, le quantique avec le binaire, entre autres trucs mystérieux, voire machins impossibles. ce sont des textes intéressants (ou pas) qu'il convient de lire calmement, en les sirotant et surtout, en se gard
Une mélodie entêtante qui se faufile dans un dédale de notes, d’accords profus. c’est une ronde et même un rondeau mélancolique, mécanique. on monte et en descend des marches parfois dans ce labyrinthe. c’est le genre de mélodie qui vous hante le cerveau pendant des jours et des jours. c’est un air de boite de nuit. je veux dire un a
C’est en redécouvrant l’œuvre de jean-sébastien bach au dix-neuvième siècle, que le fantôme d’antonio vivaldi (1678-1741) sauta comme une puce dans l’oreille des musicologues. papa bach (1685-1750) avait en effet goulument adapté une dizaine de concertos de ce gars roux connu comme le loup blanc dans toute l’europe de l’époque.
Magnifique chanson du bon maitre ... pieusement noué d'un bout de vos dentelles j'avais sur ma fenétre un bouquet d' immortelles que j'arrosais de pleurs en souvenir de vous...
j’ai trouvé ça au fond de ma tanière parmi les feuilles et les ossements : le ciel pissant dans les violons monotones de nos cœurs lourds qui se chiffonnent c’est
« quand on sait de façon absolue que tout est irréel, on ne voit vraiment pas pourquoi on se fatiguerait à le prouver » (emil cioran, de l’inconvénient d’être né)
on pense d’abord à un nuage. — il est quand même bien bas ! aux premières lueurs, on s’étonne de sa forme. c’est une sphère presque parfaite, une sorte de boule b
Est-ce qu'encore nous sentons de provence les pets de damoclès ou pire, russes ? la réponse, pilate, serait-elle dans ce que nous savons de marseille et des sales draps du lit-banc que l’écho vide de tout bon sens interdit ? jeu : soulignez tous les mauvais jeux de mots (et de maux, vé !) cachés ci-dessus et parlez-en à votre député de to
Regardez jacques brel-le port d'amsterdam - cedric sur dailymotion
dans les brumes du huitième jour avant les ides de november 2777, dans le brouillard de la saint geoffroy, du 18 brumaire 233 et de novembre 2024, écouter jacques brel dans le port d’amsterdam en dégustant des filets de hareng sur du pain grillé. on les accompagnera de quelque
À gibulène, le petit escargot « les foules se massent là où les masses se défoulent. » (gjg, blog martin-lothar, rune n° 4 du 1er juin 2005)
frères humains qui avec moi aimez jouer avec les mots, en vérité je vous le dis, adoptez un chiasme. c’est propre, c’est joli, c’est rigolo, ce n’est pas cher et ça ne mange pas de pain. bo