"lino"
"lino"
encore un jour matin-chagrin encore un lun- di, un de moins... calendriers a répéter coi, sans crier sans s'arrêter... lino émerge de ses songes voit le jour mais veut la nuit ! l'aube allonge le matin d'un vain répit... lino, le ventre en boule de pierre piétine un temps l'aiguille parterre ! la vie ne peut-elle s'arrêter sur
LordReiting
LordReiting
C'est le mépris en moi... en moi
Rien ne va plus
Ce brin de haine... est là
Vainc la vertu
Je fais naufrage
Trahis le Sage
En un éclair
L'art du damné
M'a visité
Tel un affront
Au savoir-plaire...
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Depuis :
24/09/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Desillusion
dans ma prison de chair mon coeur se dissout mon esprit se libère de ce flou... quand ma mémoire efface une image obscène une autre prend sa place et dégaine ! je sais ce qui m'entoure brille ou fait de l'ombre a ce coeur bien trop lourd d'idées sombres... je me fous d'à côté je suis comme aveugle a ce qui est "beauté" ! je m'e
Des pages...
le temps se détend tout comme un vieil élastique l'amour est distant l'as de coeur est as de pique la nouvelle donne plie sous un faux compromis l'amour fou va bafouer l'ami oh ! oui... le temps méprisant altier se croit tout permis se joue des élans du coeur et reste impuni les ans s'affolent et l'on souffle des bougies sans savoi
"oh l' ailleurs"
je suis parti avec l'idée, celle que ma vie passait vite à mes côtés ! pris de panique, mon "amérique" etait onirique... j'avais grandi, c'était un fait ! et dans mon nid, la place venait à manquer... vivre à rebours... un nouveau jour, c'était trop court ! oh l'ailleurs exil idéal un chasseur d'âmes ou bien d'étoiles..
Possession (lune après lune)
lune après lune, la lumière s'éteint dans la nuit ! le crépuscule devient un soleil de minuit... depuis, je suis un vampire, un automate au masque de cire ! vide est ma vie et mon coeur est cousu... mon âme asservie est nue ! lune après lune, le temps se tend à l'infini... passé posthume : je suis prisonnier de
"sous emprise"
odieux vendeur d'illusions aux yeux creux arides d'émotions dans un sursaut de l'âme, un émoi s'est brisé ! si mon coeur est ouvert nul besoin de clef... odieux sondeur de passions sac de noeuds : ton ventre est sans fond ! tous tes bateaux montés au nom de la lignée... si tes mots sont de l'air autant se briser... lâche tu n'
Mouvement
quand je pleure et quand j'écris ou bien encore quand dire et faire l'amour... un fluide acide, comme vent rapide, parcourt ma peau sans oripeaux... quand je meurs d'un dernier cri... petite mort : un jet pur, souffle court ! une onde amère, comme vague austère, happe à rebours le bruit qui court... et je me donne a corps perdu au mou
On est loin des corps plongeant dans l'eau verte des odeurs de chlore des piscines couvertes on est loin de nos pupitres on est loin du sol avons-nous grandi trop vite bien loin de l'école on est loin des corps blottis sous la couette loin du réconfort loin d'être à la fête on est loin de nos parents... par la porte ouverte de nos chambres, on
"loin des yeux"
la nuit s'étire et se pose dessus les tombes closes deux garçons, de ceux qui osent vont ici "faire la chose" l'un des deux dit : "je m'offre à toi !" l'autre répond : "du bout des doigts..." "silence, on tourne !" les corps dansent : l'un de dos, l'autre avance ! "pour vivre heureux, vivons cachés..." et loin des yeux ! la cha
"ce que tu penses..."
ce que tu penses dépasse l'entendement ils me glacent et m'effraient tes tourments ce que tu penses se revêt chaudement que d'écharpes enroulées sur un silence pesant ! ce que tu penses n'est pas dit librement il me lasse ton aspect faux-semblant ce que tu penses quand je dis que tu mens une trace d'intérêt brille un tem