Années 1860 : remarquables écoles professionnelles pour filles
Philippe Mangion
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Philippe Mangion
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11/01/2014
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Littérature, BD & Poésie
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J’ai parlé ici des cours de la rue de hautefeuille que louise michel fréquenta assidûment avant la commune, dans les années 1860, et de l’école professionnelle pour filles de la rue thévenot (aujourd’hui rue réaumur) où elle enseigna dès sa création. la pionnière de l’enseignement professionnel pour les femmes fut elisa lemonnier
Louise michel / gustave courbet je lis dans la commune (louise michel, éditions stock, 1898) cette phrase qui attire mon attention : « après la victoire de l’ordre [en juin 1871, donc], l’épouvante était si grande que la ville natale de courbet, ornans, par décision du conseil municipal fit enlever la statue du pêcheur de la loire. » il
Ça ne faisait qu’un entrefilet dans le fil d’infos du parisien...
Ça ne faisait qu’un entrefilet dans le fil d’infos du parisien. une jeune femme avait été retrouvée sans vie dans le canal saint-martin, à la hauteur du pont eugène varlin. on ne connaissait pas son identité, l’enquête démarrait. la journaliste affirmait que le corps portait une trace de coup derrière la tête, info qu’elle était
Deux files étaient en train de se former à quelques dizaines de mètres l’une de l’autre, dos à dos. devant l’entrée du jardin, celle des migrants et des sdf, compacte, uniforme, ordonnée, silencieuse serpentait sans qu’elle n’ait besoin de barrières ni de surveillance. devant l’entrée du couvent, celle du meeting transhumaniste,
Louise michel quelques mois avant sa mort : « « ma tâche n’est pas finie »
J’ai retrouvé dans les archives du petit champenois, journal haut-marnais, cette interview de louise michel. on est en juin 1904, quelques mois avant sa mort. à 74 ans, elle vient d’échapper une première fois à une bronchite qui a failli la tuer (photo). malgré tout, elle poursuit son cycle de conférences, ici à chaumont, dans son pays
J’habite faubourg saint-denis, paris xe, et même dans le kilomètre maximum imposé par le confinement, au cours de mes promenades je vois les traces de louise partout. au tournant des années 1860, avant de s’installer derrière montmartre en 1865, c’était ici son quartier. ma journée de télétravail est terminée. je valide mon attestat
Le cahier laujorrois : un témoignage inédit sur la jeunesse de louise michel
Il y a quelques semaines, claudine bourcelot, présidente de l’indispensable association louise michel de vroncourt-la-côte ( http://asso.louise.michel.free.fr/ ), m’a fait le joli cadeau de me confier la transcription d’un témoignage manuscrit rédigé par un ami de la famille paternelle de louise. une mystérieuse madame ligner de liffol-
Victor découvre, recroquevillée devant sa porte, une jeune fille dans un état de somnolence dont elle ne parvient pas à émerger. il la transporte sur le canapé de son salon, d’où il peut la surveiller tout en travaillant. plus tard, estimant qu’elle n’est plus en danger, il la laisse dormir ainsi et se retire dans sa chambre. le lendem
Dès sa jeunesse, lorsqu’elle se rendait à paris depuis sa haute-marne natale, jusqu’à la fin de sa vie où elle sillonnait la france pour des conférences anarchistes, louise a vécu au moins une révolution, celle des moyens de transport au xixe. en 1851, elle se rend à lagny-sur-marne chez sa tante catherine, puis s’installe pour quelqu
Au début de la deuxième vague, colette bacro, mon amie de trente ans (et même plus) qui habite malesherbes, dans le loiret, me téléphone : « monique riguet, une amie de l’atelier d’écriture, a retrouvé dans son grenier les éditions originales d’un feuilleton de louise michel, ça t’intéresse de les consulter ? » c’était une p