Y'a en qui disent que comme quoi l'aquarelle c'est bien, rien que parce qu'on ne contrôle pas toujours l'eau et qu'on a alors de jolies surprises. en ce qui me concerne c'est le dessin que je ne contrôle pas et qui me réserve aussi des surprises...pas toujours jolies. la dernière en date est inédite. j'avais l'intention de dessiner un visage p
KLAUDANDRESON
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KLAUDANDRESON
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Humour
Articles à découvrir
L’artiste moderne est condamné à être original et différent. ll faut qu’il étonne et qu’il choque. dépendant d’un public qui gazouille (*), il cherche le ramdam (**) et doit marquer sa particularité à coup de surprises, de changements de direction inattendus et d’étonnantes révélations personnelles. etant en route pour la gloir
'on' parce qu'il est indéfini et ne craint pas la vindicte populaire se permet de dire un tas d'âneries. dans le lot, certaines deviennent des dictons berrichons comme ‘changement d’herbage réjouit les veaux’. d’autres séduisent les amateurs de clichés qui ne seront jamais photographes. par exemple, ‘on’ me disait hier que l’aqua
Entre le portrait de mamie sur le mur des toilettes et les grosses taches colorées qui décorent les murs du centre pompidou, il n’y a parfois qu’une seule différence : la quantité de drogue absorbée par l’auteur (ou une partie de son public). c’est vrai, quoi ! mamie elle est vachement ressemblante alors que le 'lavender mist' de jacks
'facile' j’avais dit quand ma fille m’a demandé de faire le portrait de la jolie coline. je croyais qu’avec une telle paire de lunettes, et l’absence d’yeux dans ce joli minois, j’allais enfin réussir un chef d’œuvre à nul autre pareil ; que j’allais aisément épater la galerie.
et bien, facile, tu parles ! je suis déf
Soyons francs, je n’ai qu’un intérêt modéré pour le jardinage ; un peu comme un politicien soudanais pour le bonheur de son peuple. pourtant, assez régulièrement, je me vois contraint de tondre la savane hirsute qui nous tient lieu de pelouse. a l’idée de ratiboiser de l’herbe mon cœur cruel se remplit d’allégresse mais ce n’es
Cher monsieur jeremy mann. veuillez me pardonner. j’ai tenté de vous rendre hommage en copiant vilainement l’une de vos toiles. cela a donné la petite aquarelle ci-dessus. elle n’avait pour but que de me tenir éloigné de la taille de la haie ou du nettoyage de la voiture. j’aurais sûrement dû louer votre talent d’une autre manière.
En 2074, ma gloire aura atteint son apogée et les descendants de mes amis s’accrocheront à mes croutes dans l’espoir que ma mort prochaine augmente la valeur du portrait de papounet quand il était petit. je réunirai alors autour de grand mon lit l'ensemble de mes arrières petits-enfants intimidés. dans un moment de nostalgie pardonnable,
N’avez-vous jamais eu l’irrépressible envie de lentement éventrer le pigeon bruyant qui a décidé de séduire sa colombe l’après-midi où vous vouliez profiter d’une sieste bien méritée ; qui a choisi de faire cela au-dessous de votre fenêtre alors que le ciel est immense ; et qui est convaincu qu’une imitation d’une mobylette r