Une grande ombre informe dans une vitre sale reflet triste et morne d'une chose qui a mal elle ne ressemble a rien on s'écarte sur son passage elle brasse un air qui n'est pas le sien cette créature laide et sans âge elle a aimé pourtant aussi fort qu'elle a pu a y laisser son sang a y laisser ses buts elle se délite comme dans un bain d'acide
Aelig
Aelig
jeune femme à Paris qui découvre la beauté de cette ville...
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Articles à découvrir
Ces deux poèmes sont l'objet d'une commande pour être lus pendant la commémoration citée en objet. le premier m'est venu naturellement, le second a été élaboré avec les directives du commanditaire. c'est le second qui a été lu au monument aux morts. *** lettre à mère ma petite maman j'espère que tu vas bien que tu as toujours le matin
Tout le monde a sa petite idée sur le sujet. le pire, c'est la famille de ton ex. tu vas voir... (putasserie de prophète à la manque) le pire, c'est devoir croiser son ex un week-end sur deux. il va faire exprès de te faire chier. (hors sujet, ex pas chiant + garde partagée) le pire, c'est le partage des affaires, la communauté de bien, mais
Ils volent au dessus des autres dans une vie en mouvement déployant leurs ailes d’apôtres portés par les monde flottants des milliers de pommes roulants évaporées dans les airs des milliers de pommes tombants échappées des mondes flottants des milliers de vices pleuvants importés du seul enfer et sur la terre arrosant la douleur des survi
Tu voudrais qu'il t'aime comme ce papa qui te manque tant ses doigts sur toi te malmènent ferme les yeux, sors de l'instant laisse-le faire, va se défendre serait pire tu sais qu'il fait la loi ici c'est son empire dans son oeil torve brille une poupée a détruire, à caresser ses mains violent ta jeunesse tu es muette sous sa rudesse écoute be
Printemps ardemment attendu réchauffe nos corps glacés et nos esprits épuisés par un hiver distendu printemps sois bienvenu exalte les esprits frileux découvre ces corps gracieux pleins de sous-entendus printemps si prometteur vois comme frissonnent les peaux a ton contact chaud tu excites leur tiédeur printemps que j'aime déjà penche toi u
Le monde explose a l'instar de mon coeur on est peu de choses m aintenant qu'il est l'heure le jour du jugement dernier mieux vaudra être accompagné mais je reste désespérément seule un coeur détruit rend bégueule j'ai voulu croire que c'était toi pourquoi donc rêver à ta peau puisque tu n'as pas besoin de moi je ne t'apporte que des maux
Cette idée d'avoir commencé un 01 avril! je mijote depuis quelques semaines un article sur la tolérance et la vie de mon quartier, mais d'une j'aimerai prendre le temps de le sortir, et de deux, je n'ai pas envie qu'on le prenne pour un poisson :)
Une fois n'est pas coutume, cet article va être pour deux endroits à la fois. dans les textes que je rédige pour toi, nathanaël, parce que je crois qu'il y a son importance. dans les textes que je publie dans ce petit blog , pour moi, et pour ceux qui se reconnaîtront là, parce que c'est important aussi. parce que tu vois, mon fils, dans la v
Lune ardente tu m’as piégé l’astre que je suis ne peux résister a ta douceur brûlure apaisée lune menteuse mais que m’as-tu fait ma lumière morte n’est plus que passé ma chaleur sourde un souvenir hanté lune enjôleuse me voilà piégé soleil perdu en tes griffes acérées