Je ne me sens plus d’admiration pour les femmes –la femme et ses humbles représentantes- : fut un temps où je transformais telle guenon de faubourgs en ange pictural, fasciné par un geste, un sourire ou une voix. c’était mon dada, mon inspiration… a n’en point douter j’ai su aussi en dépeindre les poils, le regard, le cul à l’ai
Hippocampe Noir
Hippocampe Noir
[...]les hippocampes se déplacent verticalement[...]de manière assez lente[...]Attendant en embuscade avec leur camouflage[..]ce qui provoque une dépression suffisante.
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Littérature, BD & Poésie
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Nous boîtons, bric-à-brac qu’acheminent les vents, dépareillés, bourgeois privés de têtes creuses, viandes plus avachies que dieu sur nos divans de clous roux pudibonds, de lames chaleureuses. tâtonnons ! c’est le sort acéré qui le veut ! lui qui brûle et qui noie entièrement nos vies, sans même le vouloir ou l’aimer ; c’est l
Dès la dilatation de l’œil qui s'ébahit, dès le frissonnement de colonne concave, dès l'âme qui s'émeut et le cœur qui se gave et gonfle d'être par toi, la seule, envahi je sais que je le peux, aimer : le grand labeur ! ce chemin sous le ciel à s'abreuver de l'autre... ce mauvais coup du sort, trente sous de l'apôtre donnés par l'ange
Indéniablement lors du matin futile toute chose à son comble a fui... dieu je ne sais plus à quel saint du ciel avouer mon décès d'enfant de l'ombre d'or qui chante et se mutile. incandescence close, un cœur qui se transforme gît dans l'entaille ouverte et le déferlement pluriel de mes douleurs en selle, du moment, dans l'antre rougeoyant d
Entre toi puis, peut-être, moi aimer c'est mourir en sublime, c'est faire une rose d'un crime, un grain de poussière d'un roi. tu le sais ! aimer c'est mourir au nom sacré de la naissance, c'est faire d'une accoutumance l'inverse d'un gouffre à nourrir. nos rêves qui, disséminés entre le néant et l'atome, s'entremêlent... je ne suis homme
Le poète : inévitablement perpétuer l'amourarraisonné par tout ce qui te rend plus belleque la divinité qui baigne au petit jour*dans l'océan du monde et la honte éternelle la honte que fait l'homme à tout ce qui fut beausous une seule étoile à l'aurore des chosesla mort tu sais rêvasse et déjà son corbeauombrage le jardin des romances
J’aurais perdu le don du poème, un matin ! l’égarement… sans doute, on le vit, que l’ivresse l’a ramené chez elle où se boit en latin le bon vin des enfers et le bon vin de messe. sans doute près d’un string de putain, la putain républicaine, au moins, ça fait meilleure presse que celle des balkans, qui d’un soleil lointain tie
Charlemagne a passé sur ses terres où churent l’intensité du ciel et le don de la muse a cent bras me voici français du manuel avec mes cheveux noirs et crépus nœuds d’ébène on dira que la beauce est une longue vue que la bretagne entonne une chanson de fête un chti de charleville a tout réinventé on le voit à marseille il contemple
Lune aux yeux sans pareils qu'un miroir éblouitregarde-moi : je parle aux morts m'aimant de nuit...j'ai trop de mots pour eux que les choses vivantes ne comprennent qu'au fond des ombres qui les hantent.des mots lourds de douceur, des mots inachevésjaillis de cet amour navré, mal élevé,que je voue au parfum dont la moindre caressenasale me pro
Oui j'ai péché seigneur, car tu n'existes pas : au café sans saison les grandes beuveries m'auront mené vers elle et chacun de ces pas narre les nœuds par cent nouant ses collants verts. on peine à vivre, on craint, sous les mutineries, l'oubli de l'horizon pourtant, vigie en pleurs hier et naufragé pleuré par les vigies un marin nous narra