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vertuchou
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Littérature, BD & Poésie
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Je me tiens là où le bleu de la mer est sans limites taneda santoka
Nuit tiède. les sons abstraits des voix comblaient ses oreilles. il pensait au port aux couleurs impressionnistes, aux hommes impassibles face aux lointains merveilleux, au ciel entre les bateaux, comme des morceaux de monde au cœur mélancolique d'une mer alejandra pizarnik
Je m'allongerai sous tes paupières. lorsque tu les baisseras pour t'endormir, je lancerai de l'or dans ton sommeil. de l'or et des songes pareils à des nuages. christian bobin
Oh, objet désiré de ma douce flamme ! je respire enfin l’air que tu respires. où que je tourne mon regard, ce sont tes traits charmants que l’amour peint en moi, et mes pensées forment les plus belles espérances. dans le désir qui emplit mon cœur, je te cherche, je t’appelle, j’espère et soupire ! ranieri de calzabigi
Horst p. horst, lisa fonssagrives-penn avec une harpe, 1939.
Elle lui apprit à ne point prendre un plaisir sans en donner un lui-même en retour ; elle lui enseigna que chaque geste, chaque caresse, chaque attouchement, chaque regard devaient avoir une raison, et que les plus petites parties du corps avaient leurs secrets, dont la découverte était une joie pour celui qui savait la faire. elle lui apprit q
Avec quel émoi meaulnes se rappelait dans la suite cette minute où, sur le bord de l'étang, il avait eu très près du sien le visage désormais perdu de la jeune fille ! il avait regardé ce profil si pur, de tous ses yeux, jusqu'à ce qu'ils fussent près de s'emplir de larmes. et il se rappelait avoir vu, comme un secret délicat qu'elle lui
La poésie est un écho, demandant à une ombre de danser. carl sandburg
Ta langue, ta langue sage qui invente ma peau, ta langue de feu qui m'enflamme, ta langue qui crée l'instant de folie, le délire du corps, ta langue, fouet sacré, douce braise, ta langue de chair sans vergogne, ta langue qui m'explore et me découvre, ta magnifique langue qui peut aussi dire qu'elle m'aime.. d. jaramillo agudelo