Énigmatique par essence et par la volonté de ses auteurs, the strange ones porte bien son titre. l'action se situe dans un après d'abord indéfinissable dont la narration, ajustant les pièces d'un puzzle inachevé, fournit au compte-gouttes autant de clés de compréhension que de diversion. l'aura de mystère qui entoure dès le départ les pe
Pierre Guiho
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Senses ryûsuke hamaguch montgolfière d'argent et prix du public du festival des 3 continents en 2015 sous le titre happy hour et proposé (enfin) en salles en trois parties, senses, film fleuve comme le serait un roman, très dialogué, intelligent et structuré, joue avec le temps narratif en de longues scènes immersives, histoires partagées e
Désormais, c'est là que ça se passe !
De quelle manière le cinéma nous représente-t-il ? si la question concerne chaque spectateur.trice, elle résonne différemment dès lors qu'elle s'applique à une minorité. miroir d'un monde dont il rend compte de mille manières, le 7e art procède souvent par identification, créant un lien intime et complexe entre la fiction et celui.celle
Pour son premier long métrage, se focalisant sur les détails qui illustrent le récit qu'il déroule, ofir raul grazier mise sur la subtilité d'écriture pour évoquer d'improbables rencontres. la force du cinéma ne tient-elle pas précisément dans cette volonté de raconter l'impossible et de le rendre possible ? un jeune pâtissier entretien
Mission impossible - fallout christopher mcquarrie suite directe du précédent, ce nouvel opus de la saga mi clôt un cycle et nourrit plus en profondeur le mythe de son héros. créateur omnipotent et interprète habité, tom cruise confirme la figure d'ethan hunt en double casse-cou et mélancolique dont la trajectoire solitaire le confronte con
À trop vouloir le référencer, certains commentateurs cannois d’un couteau dans le cœur semblaient en tisser le linceul et, trop occupés à étaler leur culture, perdaient de vue ce qui constitue son essence même, le plaisir. s’il faut vraiment trouver une parenté, celle de brian de palma s’impose tant dans le fond que dans la forme et
Un couteau dans le cœur yann gonzalez un cinéma de pur plaisir ! critique coup de cœur - 8/10 • au cinéma le 27 juin the cakemaker ofir raul grazier une profonde ode à la liberté critique bon coup - 7/10 • au cinéma le 6 juin jurassic world : falling kingdom juan antonio bayona bel exemple (parmi tant d'autres) de schizophrénie cinémat
Après bientôt 11 ans d'activité, persistance rétinienne se met en pause.
The strange ones christopher radcliff et lauren wolkstein lynchien critique coup de cœur - 8/10 • au cinéma le 11 juillet sans un bruit john krasinski du strict point de vue du truc qui doit faire peur, ça marche. il faut donc s'en contenter tant le reste laisse à désirer. d'une intéressante idée de départ, krasinski ne tire finalement pa