Des pas tracés le long de chemins sinueux l’air fragile tu fuis vers un demain délicieux incertain est le bout de ta route s’éloigner du pire, de la pluie distillant ses gouttes a mesure que le temps efface les saisons comblées sont nos âmes, à deux nous fuyons.

A travers diverses nouvelles et chroniques, cons-sans-sommation a pour vocation d’explorer les méandres de notre quotidien.dans sa splendeur autant que son agressivité. l’objectif principal de ce blog étant de susciter une réflexion quant à votre statut, votre condition, et vos aspirations au sein de la société actuelle. ces instants de

Je compose avec mon passé quand je ne peux me passer de composer, à t'oublier . des textes imagés d'où tu fuis d'un amour envolé, décimé . sensation d'un amant imparfait, dépassé touché au cœur, fébrile et figé, comme un con, déposé . notre temps est passé, la souffrance a cessé de mon âme, dépossédé, l'esprit vide décomposé.

Âmes fragiles, égarées, dans une ville, immobile, un pays délavé désir d'union, amicale et mondiale, contre une haine déloyale, viscérale, innommable, immorale un élan, fraternel, d'un peuple, éternel contre une tuerie assassine, destructrice, illisible, inutile, inaudible une nation fière, rejetant l'ennemi, atemporel, destructeur et cr

Cette planète était devenue une vaste fosse à purin. son odeur était partout, dans tous les coins, tous les recoins. elle envahissait jusque dans l’entrebâillement de vos portes et fenêtres, vous la sentiez surement déjà, le téléviseur vous faisant la conversation. le paraître c'était donné la mission de conquérir l'ensemble de l'hu

Connaissez-vous ces moments où la faim vous gagne depuis des heures, lorsque vous rêvez à un repas exquis tout droit venu de nos terroirs ? un morceau de beurre salé grossièrement découpé produit dans une vieille baratte crépite alors dans votre poêle il est enfin temps d’y déposer cette tendre entrecôte achetée le matin même au dét

T’apprivoiser contre vents et marées des vagues de couleurs dans mon cœur dérangé parfum furtif laissé dans mon sillage je multiplie tes rires, tu réponds, un sourire sur le visage je suis las de l’ennui, baisé sucré, je reprends vie.

La vie s'en va quand rien ne vient, reviens me voir, plus rien ne va sous les étoiles pour lier nos nuits, songe à ces rêves que l'on vivra nos lèvres se croisent, l'amour s'ensuit, ferme les yeux, fuis avec moi

Ils disposent de mille richesse, s’entretuent, mais qu’est-ce qu’ils leur reste ? il y’a des océans, des montagnes, des continents des hommes, des femmes, des enfants il y’a des cultures, de la vie, le soleil et la pluie je leur ai tout donné pour les émerveiller; mais qu’en on t’il fait ? . je vois des luttes, des ravages, de l’

Regard plein d’espoir, au cinquième repas dans le noir espérant oublier, titubant trop souvent dans des rues délabrées où je marche un peu saoul et hagard, lorsque mon cœur s’égare, se mourant un peu plus dans les bars note de douceur imprégnant ton caractère un peur dur, épicé, désir d’enlacer ton petit corps, l’embrasser, l’