Fouillez, fouinez, raflez les ruelles a la recherche des plus bonnes. vous vous sentez professionnels quand vos pulsions vous désarçonnent. qu'azur ou noir soit le ciel, oeuvrant le jour ou bien dans l'ombre, vous sentez que la demoiselle vous attire à chaque seconde. touchez, souillez-la, violeurs ! minuit, midi, n'importe quelle heure ! bandez
Oni Sem'semoa
Oni Sem'semoa
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25/06/2012
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Littérature, BD & Poésie
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Les hurlements et les pleurs afin d'apprendre ces valeurs. être un sosie de tout le monde, je n'aimais déjà pas le faire. dans les classes de l'école où l'on devait tout apprendre, je me posais d'jà des colles : de qui rire et qui défendre ? la pitié et ses choix, envers qui, envers quoi ? faut-il bouger le petit doigt (?) pour les plus hau
Ma tête se ballade dans les collines de l'oreiller. la petite ballade qui trottine dans mes pensées. claudiquant, voguant dans les draps ; virant de l'envers à l'endroit. dis moi pourquoi ne viens-tu pas ? c'en est assez. c'en est assez, tu sais ? ne pas casser les sommeils, je marche un peu mais sans un bruit. la coutume est séquelle quand ell
La coupure est violente, t'arrête et te tourmente et le sommeil échappe a tes mains qui le rate. la lumière de la lampe ne daigne pas t'aider quand tu passes la rampe des lits super-posés. tes rêves ne suffisent pas à casser la prise des monstres du placard qui rôdent et se bagarrent. et quand ils te paralysent parce qu'ils t'ont vu chuter d
Monique est une mamie vaillante veillant sur la contrée champêtre. elle est la gardienne des plantes armée d'un bâton en bois d'hêtre. elle a déjà puni cinquante fois cent-deux-mille-deux-cents pitres et ce nombre que tant tourmente, est peu dire vu ceux qui l'méritent. monique n'a pas d'petits-enfants, elle les a mis auprés du nain où se
Tu as les yeux fermés mais, de sous tes paupières, plus rien ne transparait, absentes sont les mers sur lesquelles tu voguais en radeau de rosée. la morsure du cauchemar, au moins, ne t'atteint plus rien à craindre des chars, des soldats, des obus des guerres du sommeil ne reste qu'un rappel. je t'écris tous mes rêves a toi, qui n'en a plus.
Serait-ce là, l'arrivée des fatigues répétées ? un brouillon mal-écrit et la vue qui se brouille. tomber dans des orties plein de mémés. j'ai vu des flous, du bordel et du noir, et j'ai chuté suite aux chuts, au hasard des couleurs. serait-ce là, le remède à des journées trop chargées ? un brouillon mal-écrit sous la vue qui se broui
Le billet est composté, comme une fois sur deux, je vais dans la direction du retour, fatigué mais moins déprimé. je cherche une place assise dans l'attente du trajet, je m'assois côté fenêtre et livre mon sort à morphée. la monotonie me ronge tandis que déjà, je m'allonge mais mes positions font concours et je pense à passer l'éponge.
La désinvolture. ni lien ni mur, tu comportes. l'indécise allure, sans feux ni figures ; tu virevoltes. des vues, des espoirs. que de prises rares, tu colportes. utopies, tu narres ; et nombre déboires, elles apportent. oh, qu'on te veule à te voler en plein vol. oh, que l'on feule dés que tu nous survoles, sans faire escale. aériennnne ...é
J'ai bien ficelé mes lacets à mes tongs de sécurité et bien jonché sur mon crâne, un casque à fleurs. l'eau des fontaines assez bleue a ce fameux goût chloré tandis que je bois la tasse dans ma blouse de nageur. mais que le soleil des lampes me réchauffe la peau, allongé sur le ventre, à faire bronzette sous les tôles ! un tableau de l