" j’aimerais pouvoir trouver les mots pour te dire comme ça peut être beau. j’aimerais ôter les interrogations, qui tournent dans ta tête, en rond. j’aimerais que tu acceptes la nuit, inéluctable à chaque jour qui finit. que tu fasses avec ces quelques moments de perdition, puis que tu te réjouisses, car ton chemin est encore long. enf

" il devrait être interdit de dire à une personne qu'on l'aime autant, en lui pourrissant la vie à ce point. "

" tu as ramassé et recollé mes plumes pour nous voir danser sous la lune son éclat blanc illuminait tes yeux bleus nos regards se sont trouvés en ces instants lumineux "

" je suis restée si longtemps à terre et j’ai bien trop mordu la poussière je levais quelques fois les yeux au ciel avec, dans ma tête, ce rêve éternel je restais sur le dos, impassible je me questionnais sur l’impossible je sais, on m’a parfois tendu la main, mais rien qui n’allait vraiment bien je sais bien, cela m’a parfois paru

" dans tout nouveau départ, il y a tout ce que tu sais qui va changer, tout ce que tu supposes qui va changer, et surtout, tout ce que tu ne supposes même pas qui va changer. "

" l'espérance, c'est un cri infini, c'est un murmure qui ne s'arrête jamais. l'espérance, c'est le battement d'un cœur qui ne se résigne pas. "

Alors voilà, pour le souvenir, j'ai fait un premier essai de "recueil" dont je suis très satisfaite. pour cela, je suis passé par saal que je remercie grandement. le rendu est superbe : la couverture est épaisse, ce qui valorise le livre, le respect des couleurs est au top, le papier est imposant et agréable... tout y est ! je leur avais déj

" j'aimerais que tu découvres ma pièce, que l'apprécies afin de vouloir y partager de chouettes moments, car cet environnement représente ma propre personne et mon univers. j'aimerais aussi que tu m'emmènes dans ta propre pièce, en face, que je me sente aussi bien chez toi que tu l'es chez moi afin qu'au travers de deux mondes personnels, nou

" ça y est, l’automne est passé. les arbres ont perdu leurs feuilles. et je me sens, un peu, comme eux. alors j’attends, immobile dans cette immensité grisonnante. ainsi, j’attends que les couleurs changent et que les bourgeons renaissent. alors j’attends, non pas démunie de toute vie, de tout espoir. mais j’attends, immobile et heure

" j’entends souvent dire « on n’est pas si libre que ça ». je comprends un peu ce que certains veulent dire par là. certains, seulement. il est vrai que ces 2 mots ne veulent pas dire grand-chose : être libre ! libre de quoi ? libre de qui ? je ne sais pas si je suis libre. mais je suis libre de choisir. j’ai tant de choses à choisir.