Vincent Bocquet
Vincent Bocquet
Bâtard issu d'une longue dynastie de non lecteurs, non musiciens, non motards, non fumeurs, et va-nu-pieds, Vince s'est efforcé de rattraper le retard à lui tout seul. Ce blog indique l'étendue du désastre. Où l'on parlera donc littérature, musique, cinoche, moto, fringues, et sociologie d'humeurs.
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Actualités et critiques culture et loisirs, cinéma, séries, musique, rock, moto
Vincent Bocquet
Articles :
56
Depuis :
27/09/2016
Categorie :
Musique & Divertissements
Articles à découvrir
Il y a une dizaine d’années, je dirais, pour être plus précis, à l’âge d’or des séries télé, je me suis pris à penser que ce format était destiné à se substituer à celui du film de cinéma. pensez donc : six, sept saisons de six, sept fois une heure pour développer une histoire, des psychologies, des images, un écheveau d’int
“ le premier principe est que vous ne devez pas vous duper, — et vous êtes la personne la plus facile à duper. ” richard feynman récemment, j’ai appris à lire. et ben, j’aurais dû le faire bien avant : c’est super. en plus, j’ai eu un sacré bol, mes deux premiers bouquins que j’ai lus, c’était vachement bien. le premier, il
Pour la partie 1, c'est là-bas...
« … l'odeur de la forêt dans ton papier journal, une fusée pershing dans un nid de colombe, le rêve de la liberté dans un bocal… » ferré, personne alors, oui, quelques jours de retards. quelques semaines, en fait. mais si ça se trouve, j’ai chopé le covid, alors tu vas quand même pas te moucher du
« … mon pas d’oiseau forçat enchaîné à sa plume… » paris mai, nougaro et voilà, on est vendredi. ce vendredi qui, du temps de ma jeunesse, il y a deux mois, annonçait, gourmand, puis inquiet, ce vikende, avec ses interminables patiences d’entre-soi, ses longues fiançailles égotistes, cette sournoise conversation incestueuse avec s
Peaky blinders : tommy guns - partie 2 : descendre aux enfers
Pour la première partie, faut voir là-bas
« — the sweet boy who left never came back from the war… — no one came back. » tommy shelby à jessie eden, peaky blinders, saison 4
l’europe en enfer en 1914, la conscription était étrangère à la tradition militaire britannique. les pals battallions furent le moyen qu’on trouva d’abord,
Pour la partie 2, faut voir là-bas
un jour de retard sur mon planning. on s’en fout. de toute façon, on va parler du temps, en avance, en retard et à l’heure juste ; et depuis 1915, on a vaguement pigé qu’il est relatif, comme toutes choses d’ailleurs, ce qui est plutôt rassurant. anachronie et catachronie alors, bon, voilà : descendr
Ou sur le buffet normand. ou sur l’armoire à glaces. faut reconnaître que l’engin en impose. la vache, c’est gros… comment j’en étais arrivé là ? ça avait commencé comme du joe dassin dans un bus de rugbymen : « je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu j'avais envie de dire bonjour à n'importe qui, n'importe qui, e
« ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés. » jean de la fontaine, les animaux malades de la peste. oui, oui, je sais bien que j’ai pas payé mon écot du vendredi depuis une sacré paire, et que les semaines ont défilé depuis mon dernier article. j’ai ralenti. j’ai mis la pédale douce. je me suis mis quasi à l’assuranc
« j’ai ainsi eu, au cours de ma vie, de tas de contacts avec des tas de gens sérieux. j’ai beaucoup vécu chez les grandes personnes. je les ai vues de très près. ça n’a pas trop amélioré mon opinion. » saint exupéry, le petit prince
j’avais passé un noël pépère. banquets, agapes, bombances et ripailles. au chaud. dans le moell
Richard feynman et emmanuel todd, génies sans bouillir (partie 2)
Pour la première partie c'est là-bas...
je vois assez bien à quoi pouvait ressembler le campus du caltech entre 1960 et la fin des années 80. j’ai vu ça dans plein de films. et puis, j’ai tendance à voyager aussi, la nuit, quand ça m’échappe… d’ailleurs, mon dernier voyage astral, j’en ai rapporté mon tee-shirt préféré, ache