Bachir Rouighi
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Mémoire, Documentation et Archives de Laghouat
A travers ces pages, vous allez découvrir Laghouat, la porte du désert, une cité saharienne de l'Algérie, une ville du Xe siècle dont le nom a une origine plus ancienne encore. Ceci est un blog où je me contente de commenter des événements, illustrer des faits, partager des documents pour l'histoire dans le but d'aider en documentation nos chercheurs dans leur travaux académiques.
Bachir Rouighi
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40
Depuis :
27/02/2016
Categorie :
Tourisme, Lieux et Événements
Articles à découvrir
Voici des photos de 1922 soumises aux ventes aux enchères sur le site ebay du khalifa du sahara ferhat si djelloul ben lakhdar ben mohammed ben taïeb en compagnie d'officiers français dans la maison mauresque de bensalem si mohammed ben cheikh-ali ben ahmed ben salem. toujours sur le même site, un portrait de 1922 du khalifa si djelloul ferhat.
Quelques notes sur le larbaa de laghouat (…)- contribution de bachir rouighi-
Quelques notes sur le larbaa de laghouat (…) les origines des larbaa l'histoire des larbaa est un amalgame de légendes et de traditions qui nous renseignent sur la création, la migration et l'occupation par cette tribu du nouveau territoire dans la région de laghouat. ces larbaa légendaires ont de tout temps abrité de nouveaux venus. ce qui
Voici un discernement attribué à mebrouk djoudi, le luthier de laghouat. cet artiste du bois est un musicien. il était président et chef d’orchestre de la troupe musicale thoraya de laghouat, fondé en 1943. par ce brevet mebrouk djoudi est promu " meilleur artisan algérien " en 1954. ce certificat m'a été adressé une première fois sur f
Aquarelle du palais de kourdane par rachid aouissi (laghouat)
a urélie picard, dite lalla yamina, une fois première dame de la zaouia d'ain madhi, est l'épouse française de sidi ahmed amar tidjani, le chef spirituel d'ain madhi, le khalifa de la grande confrérie tidjania. fils de sidi mohammed el-habib ben sidi ahmed el-tidjani (1737-1814) et
Une description succincte de laghouat d'un point de vue colonial
Le texte est d'onésime reclus de son livre "la france et ses colonies", tome second, nos colonies, librairie hachette et cie, 1889, paris. source ;la bibliothèque numérique gallica bnf, bibliothèque nationale de france.avec une un dessin de barclay, d'après une photo représentant une vue général sur laghouat. ce texte décrit laghouat avant
Laghouat, longtemps décrite et appréciée pour ses oasis, ses beaux jardins, ses ksours élevées sur des pitons..., avait aussi une organisation, des institutions, des çoffs...etc. en somme, laghouat était une ville fortifiée et organisée. elle tirerait cette organisation des us et coutumes de la gestion de la chose publique, pratiquées par
Une page du registre des renseignements sur les tribus de la subdivision de médéa (1844/1873) dont laghouat fait partie, nous donne les informations suivantes sur laghouat en 1846 : je saisi ici quelques informations importantes et je vous laisser consulter le document. il s’agit d’une pièce du registre en premier lieu voici une information
Il est vrai que laghouat a eu beaucoup d’hommes valeureux, qui œuvraient à sa prospérité et son progrès, à travers toutes les époques de son histoire. on a beaucoup parlé de ses habitants tenaces et hostiles à tout occupant, ses descendants des gétules et de hillal ibn ameur, les maîtres du désert. ainsi que de ses cadres et petits fo
Les traces de la vie humaine au sahara remontent à la nuit des temps. dans l’antiquité, un peuple de nomades sahariens les gétules a habité une grande partie de ce vaste désert dont certains se sont sédentarisés et avaient occupé les oasis du sahara. des auteurs grecs et romains comme strabon, pline l’ancien et salluste s’accordent su
L'autruche vivait dans le pays de laghouat. sa chasse était un plaisir pour les habitants de cette contrée. le chef du cercle de laghouat, le commandant marguerite raconte ici, son histoire avec la chasse d'autruche accompagné de gens de la tribu des mekhalifs de laghouat. ces pages-photos sont un extrait du journal des chasseurs de novembre 185