J'habite entre deux mots, j'ai pour toit une rime. sur un chemin verbeux où le langage rit, je m'en vais chaque jour embrasser dans son lit le chant d'un mot d'amour que la musique anime. ce que je ne dis pas à ma plume s'arrime a l'oiseau blanc qui vole, à l'écume du cri d'un point de suspension. ah! comme c'est joli ce point qui ne dit rien,
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Littérature, BD & Poésie
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sous la pluie riche de sensations .dans les rues désertéesmidi la faim de paysages.sous la pluieles mains dans les pocheset rien d'autre.sous la pluiemême le monumentpleure ses morts.sous la pluiesavent-ils qu'à vouloirils perdent.sous la
Il ne montait pas haut vers l'azur et la nue quand la pluie est venue le chant du vie il oiseau l'aile comme un flambeau brûlait sans retenue le vent la mettait nue montrant ses frêles os mais son âme vaillante sous la feuille tremblante ne cessait d'espérer que le temps enfin clame le printemps et la flamme de l'éternel baiser lilas
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Oh!...je voudrais une étoile accrochée à minuit qui se balancerait insolente et complice de la veille à demain sur un poème lisse et me chuchoterait à l'oreille un doux bruit . comme un oiseau s'enchante en buvant à la nuit les délices sucrés d'un bouquet d'artifice elle m'envolerait au feu dont elle tisse les soies et les brocards où le
Dans le miroir de l'eau, les lueurs d'un beau soir,vacillent sous le vent et perdent l'équilibre,comme une beauté d'or, embrasée et qui vibreaux sanglots de la vague, éternel éteignoir.. chevelure dorée, offrant, rieuse, à voirun œil malicieux, étincelant et libre,une comète frôle élégamment la fibred'un roseau somnolent après un au r
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quand reviendra l'automne que l'été ne sera qu'un souvenir qui tonne un lointain opéra quand le jour monotone têtu se couvrira dans le ciel qui moutonne de lumière angora je déroulerai seule avec le vent qui feule le fil de nos baisers e
. c'était un garçon triste qui dessinait le ventun pauvre équilibristefunambule du temps. . il voulait être artisteallumer un instantle ciel et cette piste que trace le printemps. . mémoire de guingoisil murmurait tout basdans son coeur étincelle . pour encre son destinil écrivait sans finet son âme était belle. lilas .
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l'endormie . son sommeil est léger comme un souffle d'été murmure caressant aux accents de merveilles et son rêve est si doux que des angelots veillent sur la tendre pâleur de sa fraîche beauté . elle vole à la nuit son goût d’éternité son bel amant épris des désirs qui s'éveillent déshabil
Sans boussolene plus chercher le nordjuste le soleil.automne~d'autres floraisonsà connaître.grain de folie~me joindre aux couleursdu délire automnale.le nez au ventrespirer les parfumsdu ciel et de la terre.crépuscule~parfois long le cheminjusqu'à l'horizon
Suc comber à la douceur du soir,quand le jour ému cède à la nuit,aimer ce qui nous offre l'espoirde traverser le sombre infini, . quand le rêve donne en miroirde la couleur au mot cueilli,dans la légèreté d'un bonsoir,alors avec le coeur on écrit... . les mains sous les draps se rejoignentdu jour les noirs mascaras éloignentet tracent le