Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Jahman
J

Jahman

Tags associés : poesie chinoise, varia

Ses blogs

Ebullitio poeticus

poésie métaphysique et mystique
Jahman Jahman
Articles : 23
Depuis : 20/02/2006
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Désespoir de liberté

Désespoir de liberté qui ne montre que son absence liberté, liberté chérie je cris ton nom en attendant ta résurrection jusqu’à extinction du son je meurs sans un nom ivre, je demande pardon sans répondre à l’appel les ténèbres sorties de l’enfer sillonnent les plaines d’hiver soufflent la nuit obscure et déposent dans mon âme

Citations

Elle flote, elle hésite ; en un mot, elle est femme. jean racine. etre fidèle, c'est, bien souvent, enchaîner l'autre. sacha guitry. je suis athée, dieu merci ! stendhal. vous n'êtes pas jolie, vous êtes pire. victor hugo. un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. alphonse de lamartine. n'est pas cocu qui veut. si tu l'es, ta femme s

« inscription pour l’ermitage de li ning », kia tao

« inscription pour l’ermitage de li ning », kia tao : un asile de paix, peu de monde alentour : la sente herbue s’engage en un jardin sauvage. près de l’étang, les oiseaux nichent dans les arbres ; un moine sous la lune vient frapper à la porte. en traversant le pont, je fends le paysage ; en bougeant les rochers, je meus la base des nua

Nuit étoilée

Nuit étoilée après nuit de brume nuit d’étoiles par milliers parfument le soir. nuages rosés a minuit. froid de canards : passage invisible. seul leur chant pas sage passe par la voûte étoilée du firmament : silence infini.

Odes mystiques (rûmi)

Odes mystiques de rûmî, 325 entre, que je jette à tes pieds la tunique de mon corps, en cet instant. entre, que je t'abandonne la maison de l'existence, en cet instant ! appelle l'amour pur, et renonce à ces jeux dans la poussière. j'ai une seule vie, et veux la perdre pour toi, en cet instant. bande ton arc comme un dieu : tu es la flèche de

« montagne printanière au clair de lune », yu leang-che

« montagne printanière au clair de lune », yu leang-che [1] : que de splendeurs dans les montagnes, au printemps ! j’y prends tant de plaisir que j’oublie de rentrer pour la nuit. quand je puise de l’eau, la lune est dans mes mains ; je joue parmi les fleurs, et leur parfum m’imprègne. o joie ! il n’est plus rien qui soit ni loin ni p

Liberté

Liberte oh liberté magique ! liberté merveilleuse, merveilleuse liberté liberté ô liberté ! liberté, oui, liberté ! rien que liberté seulement liberté vivre libre et libérer la vie retour à la liberté puissance, oui, puissance ! etre, liberté, vie, puissance oh attributs divins chanté, glorifié ! oh le divin manifesté ressentir en

Connaître et ignorer

« laisse ton ego s’en aller pour un voyage au-dessus des mots ou bien un espace entre le temps » (kabal) « i wanna be alone » « savoir, c’est vivre. et maintenir dans l’ignorance, c’est presqu’un homicide » (assassin) « pourquoi ? fou à nier mon énergie vitale s’étale je suis de la race des hommes l’apocalypse, la révélati

Li bai florilège

Venu au mont dai-tian visiter un homme du dao, je ne le trouves pas au bruit de l’eau se mêlent des abois ; vive est la fleur du pêché sous l’ondée. on voit un cerf, parfois, au fond des bois ; on n’entend pas la cloche en la vallée. de grands bambous coupent le brouillard vert ; d’un pic d’azur jaillit une fontaine. où donc est-il

« donné au taoïste kiun-li de wou-wei », ngeou-yang sieou

« donné au taoïste kiun-li de wou-wei », ngeou-yang sieou : le taoïste de wou-wei, de sa cithare de trois pieds, tire des sons infinie, venant du fond des âges ; telle une eau qui court sur le galet et sourd des profondeurs, inépuisable. les doigts touchent la corde, mais la musique vient du cœur ; et ce n’est plus l’oreille, c’est l