"le seul voyage qui vaille est celui que nous faisons là où nous sommes, toutes écoutilles au vent, quand notre but n'est pas de conquérir le monde mais d'être conquis par lui." francis cabrel : les cardinaux en costume
lisa
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30/01/2006
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Articles à découvrir
Rêves je rêve de la lumière qui éclaire mes ombres je rêve de l'eau si claire qui me lave de mes peines je rêve du grand feu qui m' égaie et me chauffe je rêve du bois brut que ma main va polir je rêve du son vibrant où résonne mon espoir je rêve de l'air vif où je trouve mon souffle je rêve de la pierre dure qui éprouve ma force je
" un fait est comme un sac vide , il ne tient pas debout . pour qu 'il tienne debout, il faut d'abord y faire entrerla raison et les sentiments qui l ont déterminé. pirandello: six personnages en quête d'auteur (1921)
Désirs désir de voler plus loin de toucher la cime de l’incertain désir de se permettre l’étoile quand notre monde met le voile désir d’oser colorer de douceur des instants de vie… ailleurs…
Légèreté glisser dans l’azur, filer sans heurts, glisser sur le dos des nuages avec lenteur vive,vitesse lente pour goûter le temps et s’ouvrir à l’inconnu de l’espace… et si la légèreté était justement soutenable, désirable, salutaire ? la gravité terrestre ne serait plus pesanteur, mais porteuse d’essence ,de sens, des sens
Réveil, café, cigarette, nouveau jour poétique. le temps indompté impose sa loi. la pensée chemine la maison s'anime le corps s'est mû.
Les bruits des dîners de cons. j’entends dans le lointain les tintements répétés des fourchettes, le mâchouillement des omnivores dégustant avec gourmandise les mets qui se succèdent, le chuintement des lèvres sur les verres, et même si j’écoute bien, les frôlements sur la nappe, et les bruits en cascade des chaises déplacées dans
Fermer les yeux , dessiner ton corps créer ta présence te sentir là… !
Avec ses vêtements ondoyants et nacrés avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche on croirait qu'elle danse, comme ces longs serpents que les jongleurs sacrés au bout de leurs bâtons agitent en cadence. comme le sable morne et l'azur des déserts, insensibles tous deux à l'humaine souffrance, comme les longs réseaux de
Temps un réveil tardif sous soleil timide et je décide de construire un jour nouveau , éclairer mes heures , et retrouver ma paix qu' un vent vilain avait chahutée. j'ai tenu la barre , traversé les eaux furieuses , j'ose dire cruelles sur l'océan du devoir, j'en garde un sentiment de tristesse et de colère , pourquoi de telles déferlantes?