Passionnés, et : « écorchés » dans leur passion. leur ego ? ils avaient peut-être tous deux dû être déçus. un jour, à un moment, à l’instant, à l’instant même, à cet instant précis. quand ? la première passion : l’illusion. la grande illusion qui nous font parcourir des longueurs incommensurables de joie, d’élans, d’impa
Opaline
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04/06/2005
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Économie, Finance & Droit
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Et elle avait plus de patience pour lui que personne n'en eut jamais pour personne. il avait subi si peu d'avanies tandis qu'elle le lui dit au téléphone qu'aussi il comprit la chance qu'il avait. cette rose fruitée telle une barcelone, ce goût étrange qui toujours l'ennivrait, de byzance à vérone, l'air était frais. tous deux avient froid
Tu es là : enfin. dans le hall de l’aéroport. je ne devais pas venir te chercher. ça n’était pas convenu ainsi. mais j’ai dérogé à la règle. avais envie de te voir, sans que tu ne me vois. envie de te sentir, comme j’ai pu passer mon temps à t’attendre en te pensant déjà à mes côtés. te voir, sans rien dire. m’éprendre de
« pour la plupart, la vie n’est qu’un combat perpétuel, avec la certitude d’être finalement vaincus », le monde comme volonté et représentations , shopenhaueur.
Elle voulu se lever pour se lever. sa vue commença à se troubler, des tâches blanches, petit à petit l’apparition de taches blanches dans son champ limité de vision. ses yeux en déconnexion avec le cerveau conscient, se strangulèrent dans l’axe droit de la pièce. regarder à droite, c’est regarder l’avenir. a gauche, le passé. sa t
En même temps que mes yeux s’ouvrent plus grands encore sur les jours qui défilent un nouveau voile translucide s’est plaqué sur la fibre de mes outils oculaires se plaire à se dire qu’il fallait lâcher prise à l’aurore de notre histoire d’idylles je ne t’ai pas donné l’occasion de m’aimer, de me voir, de me palper. je n’ex
Echos & narcisse...faut pas leur en vouloir... d'abord la signalisation dans la ville duroy : voici l'endroit hostile où...(ci-dessus) ils vivent... - et ça donne quoi ? ...ça ! ou encore ça ... et ça... and so on ! love &c parce que je suis de la gent "gentille", dit-il : "gent : il", je vais vous filer quelques liens...subtiles. faut la trou
Tu es l’horizon qui me pointe du boréal sans permission, l’enfant roi qui badine allègrement entre les sillons, celui que j’embrasse, auquel je m’enlace sans prémonition, je t’aime à en perdre toutes raisons de démission. mon amour, combien de temps encore ? mon amour, ne me quitte pas dès l’aurore. les journées se fusillent sur
- premier texte - · titre : moâ-m’aime. auteur : placard du tilleul. catégorie : vississitudes. « je commencerai par une conclusion. la conclusion étant que le silence n'était déjà plus depuis déjà trop longtemps. parfois oublier de ne pas s'oublier. parfois on ne l'a tout juste pas appris. parfois on se demande quand cessera la douleur