Nos aller-retour et ta moue dubitative me donne des envies d’ascenceur sans échafaud.tes réparties ludiques, le besoin de te prendre dans mes ravageuses pensées, de te saisir à bras le corps pour que tes sens libèrent ce que tes mots étouffent.piquée au vif, je me contente de sourire, muscles tendus prêt à l’attaque sous un air placide
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Impressions au fil des jours de l\'histoire d\'une rencontre.
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04/02/2005
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Lifestyle
Articles à découvrir
Je suis lasse de tout ce temps gaspillé à te prouver que je te valais. même les séries télé me rappellent mon naturel vagabond et séducteur, me rappellent que j’aime la nouveauté, la découverte et l’approche tactique, que la difficulté de toute séduction n’est que le prix du plaisir, non le plaisir lui-même. je t’abandonne à ce
Il aura fallu ces roulements de tambours, toutes ces crispations, pour que je parvienne à me déprendre de toi. cinq années à lorgner l'espoir, les sens fouettées par ton regard dans notre quotidien de retenue. cinq années de haut et de bas dans les escaliers de nos rencontres. cinq années de tyrannie et d'empathie, de sourires et de rage, d'
Ta photo,la photo qui doit te vendre,hante mes nuits même si j’ai prétendu qu’elle manquait d’humanité.car enfin, n’est-ce pas ce fantasme de maîtrise parfaite qui m’a séduit avant tout ? et puis…et puis, je t’ai vue, sous le masque.et puis, j’ai vu l’enfant que tu dissimulais sous l’adulte bien dressé.et puis j’ai joué
Je ne sais plus si je t’évite ou si tu prends prétexte à glisser dans l’espace, absente à toi-même. je ne m’altère même plus du guet-apens que tu m’as tendu. car alors… que reste-t-il en ton pouvoir ? ce lacet si bien posé, je ne l’ai bien entendu pas vu tout de suite mais maintenant, qu’en fais-tu ? ne me crois-tu pas apte à
La jalousie est une ombre de l'enfance, une peur irraisonnée et un égotisme primaire.nul ne saurait s'en prévaloir mais notre prétention à grandir devrait nous en distraire.
Ce soir tu seras jugée par d'autres que moi. ta superbe en pâtira, même si c'est moi que tu menaces d'avoir ta mort sur la conscience si je ne m'exécute pas.
Mon coeur se contraint, se contracte, se réduit à croire en la bonne fortune. il trépigne, enfant incompris. il gesticule, projeté en tous sens. il rebondit, à tout rompre. il se crispe, la bave aux lèvres. il râle, d'un souffle rauque. il pleure, l'amer à la bouche. ton silence.
Assise à un mètre dans ton dos, je suis convaincue que tu perçois le feu qui se dégage de moi. bien sûr, c’est moi qui ai pris place là, à cet endroit précis, derrière toi et à droite du prestataire qui continue d’une voix monocorde sa présentation. tu me tournes le dos physiquement, volontairement, je le ressens. ta main gauche est
Te voir me rappelle mes devoirscomme si j’avais pour un temps réussi à oublier ce qui te touchetu m’aveugles de ce sourire entenduquand de mon bras je glisse de la rampe à l’espace que tu croisesmon piétinement ne m’empêche pas de te convoitercomme tout mirage se dissolvant dans les oasis vaporeuses lorsque je décide d’invoquer ton