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Arnold GRONDIN

Arnold GRONDIN

La poésie, suc de ma vie, est une musique au goût du sublime. Encore faut-il l'entendre pour l'apprécier.
Tags associés : poeme

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Le blog de Arnold GRONDIN

L'auteur offre un panel assez large. Divers thèmes sont abordés : description de paysages de la Réunion et scènes de la vie de tous les jours. Vous pourrez aussi découvrir quelques unes de mes toiles.
Arnold GRONDIN Arnold GRONDIN
Articles : 39
Depuis : 26/09/2007
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Insomnie

Insomnie seul, je ne pouvais apprivoiser le sommeil, qui, malicieux restait éloigné de mon lit. l’horloge de ma chambre indiquait minuit, et les heures tombaient précipitant mon réveil. une pluie fine et discrète improvisait une nocturne douce et limpide sur le toit. de cette mélodie ouatée mon cœur appréciait la finesse du doigté qui a

La mer

La mer tu agites sans cesse ta crinière d’écume, et tu tisses inlassablement des kilomètres de dentelles. tu jettes à mon visage, oh ! toi, la belle, ta vengeance et ton amertume. face à ton univers liquide, mon âme pleure ; a ta détresse profonde, je joins mon angoisse, a tes cris déchirants, je joins ma solitude. en des plaintes lugubre

Je t'imagine

Je t’imagine de ton cœur, tu m’ouvres la porte, et tu m’accueilles en ouvrant les bras. la musique de ta voix me porte, dans un ailleurs, meilleur qu’ici bas. et je t’imagine des fois… les larmes de tes yeux me disent, tu sais – j’ai besoin de toi. j’ai besoin que ton amour s’éternise ce sont des larmes de joie. et je t’imag

J'ai cherché

Version:1.0 starthtml:0000000211 endhtml:0000011942 startfragment:0000002658 endfragment:0000011906 sourceurl:file://localhost/users/arnoldgrondin/desktop/divers/po%c3%a9sie%20i/j'ai%20cherch%c3%a9....doc j’ai cherche… j’ai cherché… dans le ciel, tout là-haut, ce goût de miel, que tu as sur la peau. j’ai cherché… dans la fleur, la d

Je t'attends

Je t’attends. a l’ombre des tamarins, musarde un fier ruisselet qui paresse et s’enroule, frais, autour des galets. je t’attends. a la lisière de la forêt et des grandes folies, le merle chante et déshabille la grappe fleurie. je t’attends. l’abeille caresse la fleur du jasmin, et cueille à la source le nectar divin. je t’attends

La ravine blanche

La ravine blanche. dans l’air doux et frais du matin, sur le sentier poudreux qui mène au bassin. les branles vous prennent par la main, et vous accompagnent tout au long du chemin. le soleil peine à traverser la canopée, dans un trou de verdure, il tisse de ses rayons, comme une immense toile d’araignée imaginative création, éphémère i

Salazie

Salazie bercé par les flots bleus de l’alizé, lové dans le creux des contours dessinés, au bord des cieux, salazie paresse encore, dans la nudité du jour qui s’empresse d’éclore. les cascades dessinent dans le vert et l’azur, de blanches et profondes déchirures, et roulent leur souffrance en larmes désespérées, force ajoutée au d

Passagers du vent

Passagers du vent saint denis s’étage sur les hauteurs, et dort dans les franges de l’océan, qui tisse sous les caresses du vent, une couronne blanche sertie de fleurs. quand le crépuscule gomme ses contours, et que se déploie le sombre manteau de la nuit, derrière les portes closes, au fond d’une cour, ils cherchent un coin de ciel, une

L'etre et l'avoir

L’etre et l’avoir je n’ai pas besoin de pitié car telle est ma destinée. j’ai manqué de hardiesse et de témérité, me laissant guider par la sûreté et la facilité. je reste toujours en retrait faisant fi de mes qualités, je pourrais en plus de la maison, vouloir plus que de raison. mais le plus m’indiffère il est vrai que je pr

Juste aujourd'hui

Juste aujourd’hui quelque jour, tu as fermé la porte de ton passé, pour tourner vers l’orient ton cœur léger, pieds nus tu l’enroules de lumière dorée, qui caresse ton corps de son souffle éthéré. ouvre les bras, accueille sa puissance fraternelle, qui conjugue passé et futur en un présent éternel, ne fais plus comme perrette des