Des vies si différentes des mines toutes atterrantes dans des visages penchés on y voit le regret. quel regret ? quel remord ? un choix manqué ? aucun choix présenté ? le manque d’une goutte d’or. dans ce wagon bondé, des pensées vagabondent la vie semble stoppée, chacun dans sa ronde. puis le train s’arrête. beaucoup se lève les ch
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17/04/2006
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Brillante dans la chambre saisissant ma poitrine tout mon coeur se cambre si douce et si câline la flamme des damnés! feu vieux d'une année des nuits de tristesse des matins esseulés mélancolie, oh ma faiblesse tu t'embrases de volupté une seconde, puis cesses... je gratte la pierre comme une prière j'allume la cire tremblante de lumière br
Il ya des jours couleur du soleil, où je me sens un rayon du ciel, il y a des nuits de lune de miel, où j’oublie même que je suis sans elle… et dans ces nuits de petits bonheurs et de liberté je me sens revivre, avant la mort d’une larme de sel et qui s’assèche dans l’eau de la seine. il ya des jours couleur de ce ciel, gris et pâle
Un soleil fané entouré de tours sur le béton armé dans les rues dans les cours brille un soleil fané des esprits qui s’affèrent dans des corps meurtris et des âmes qui s’oublient dans le monde qui s’enferme dans un monde qu’on enferre sans joie sans peine et rempli de haine pour un monde qu’on enterre. venez venez, j’ai vu la lum
Un pigeon blanc quelques branches surplombent la chaussée la lune découpe en ombres d’avalanche les feuilles dans mes cheveux et jusqu’à mes pieds. la lune reflète d’une douce lueur fanée, quelques petites fleurs blanches courant sur la route au milieu du silence un pigeon cherche son chemin. eperdu il avance au milieu des absences devan
Quelle beauté ! époustouflante ! les traits sont parfaits et le charme, dessiné oh belle amante ! et elle rigole et ses dents sont parfaites, toujours et tout est parfait comme la beauté du jour, comme l’amour. on la croise partout et partout accourent les regards sourds de ces yeux aveugles de ces yeux de fous. on la croise partout mais jama
Pour rien ferme les yeux et pense… un clavier un écran et y graver des mots une plume ou un stylo pour un sentiment mais tout ça pour rien ; ils n’existent pas. que dans ma tête de bon à rien. ouvre les yeux, tu ne vois rien. les vers et les strophes apportent réconfort mais ils inhibent l’effort et me ronge de liens. attaché à tous,
Triste mouton quelle est cette force quelle est elle ? cet élan qui m’emporte le regard en arrière, impuissant a s’en bruler les ailes. chatelet, vingt et une heure le train est là et ça sonne ! mais là bas, un refrain rieur chanté dans la gare qui ronronne attrape mes yeux pour en chasser les pleurs… un homme sur un banc il a les yeux
Avide vide et vidés sans mal sans bien il semble que les gens sont des pantins grimaces et jeux de rôle les corps s'articulent avec grâce ou ridicules ces âmes qu'on enrôlent heureux contents et contentés des rires et des sourires il semble qu' il faudrait les haïr rictus dans le hall la joie qu'on hurle après farce et bidules miroirs qui n
Comment parler du doux amer, et comment rester sur le fil ? basculer du coté pile pleurer à en manquer d’air puis volteface vers la douceur des iles où le soleil inonde la mer et le sourire qui appelle le bonheur. comment parler du passé ? celui qui s’agrippe dans la douleur d’avoir été heureux et de regretter de n’avoir pas été heu