Les grains de sable s'évadent recouverts par l'écume les yeux voilés voguent sur les rêves, la brume... 6/10/2012 lucile

Coussins brise lames peu confortables modeste refuge entre sel et sable douceur d'une nuit d'été sans nuages où les lumières dansaient du large au rivage théâtre d'une étreinte tendrement bercée par le son de la petite houle venant s'échouer... luce – 17 août 2015

( http://img15.hostingpics.net/pics/551149hridialoiseaucleste.jpg ) bel oiseau nocturne aux ailes de feu qui illumine le ciel sans lumière et inonde d'étoiles les amoureux vol léger d'un bout à l'autre de la terre battements d'ailes au souffle salvateur qui anéantit la peine, la haine et la douleur sublime oiseau immaculé qui nous porte vers

Photo: romain (cc-by-sa) le regard du soldat s'est perdu vers l'infini. cherchant cette inconnue... a travers ce paysage démembré, déchiré aux veines asséchées par l'aridité le regard du soldat cherche encore un havre, une lueur d'espoir chaque nuit, il s'évanouit, s'endort dans cette obscurité toujours plus noire le regard du soldat s'év

Des torrents de larmes dévalent les joues de marianne les feuilles tombent, les fleurs se fanent elle est a tterrée par ce barbarisme infâme désemparée par l'oubli, par le sommeil, et l'insensibilité de ses citoyens qui ne voyaient la guerre qu'au loin une chimère du passé, des médailles vermeilles nos poilus et résistants, devenus vagues

Etoiles filantes grises et austères tempête emportant le ciel dans un tourbillon de poussière les papillons s'élèvent toujours plus haut disparaissant dans les nues, à l’abri du chaos etoiles filantes qui ont perdu leur éclat contre les roches acérées, son cœur bat mer infinie, aux vagues acérées emportant le ciel au large des havres

Drapeaux multicolores qui flottent dans l'infini enneigé nature intacte et fragile, jalonnée de verdure et de pierres sentier discret, nous menant là haut, dans la lumière ton sourire figé, ta main tendue qui me mène au sommet un pas après l'autre, nous cheminons heureux vers le ciel atteignant les neiges, qui comme notre amour, sont éterne

Accordéon aux ailes mécaniques, cinquième ciel... immobiles face à l'infini, elle s'étend belle. ciel de velours noir, abritant une piste d'étoiles... elles se figent ou scintillent, jamais ne s'endort la capitale. les cadrans s'allongent, ondulent doucement immobilisés, pour l'éternité d'un instant... luce -- 19 décembre 2012

Les yeux rivés dans la nuit tiède de l'été nous fêtons la patrie, fiers d'appartenir à ce bout de terre, d'être libres, fiers d'être français une nuit, un instant pour effacer les clivages sans pour autant se souvenir de ceux qui ont accepté de mourir dans les airs, sur terre et les rivages etoiles aux mille et une couleurs inondant le ci

Papillon aux ailes sombres de la nuit qui s'en va chercher la lumière il s'est posé sur cette étoile qui luit après un vol hasardeux autour de la terre attiré par sa lumière étincelante mais douce lumière laiteuse dans un océan sans vague, ni mousse papillon, qui, dans la lumière du jour a vu ses ténébreuses ailes prendre les couleurs d