Tant que vous n’avez pas été embrassé par un de ces pluvieux après-midi parisiens, vous n’avez jamais été embrassé. woody allen ces mots pourraient décrire à merveille paris, c’est malgré tout un cliché, une image une illusion, un fantasme. il n’y a en réalité pas un paris mais notre paris, votre paris, mon paris, le paris de l

Bon avant de commencer, certaines expressions sont à prendre au 10ème voire 20ème degré... etant de petite taille, le périnée dur comme une érection strauskanienne et l’épaule vibrant comme un alzheimer, j’ai la surprise de croiser un homme ressemblant étrangement à sarkozy. il me parle, je lui propose un verre, il me dit qu’il ne b

Un autre 14 juillet parmi tant d’autre et pourtant. il est jeudi soir, tandis que de l'autre coté de l'atlantique on célèbre à coup de coupe de champagne une fête qui n'a de nationale que la forme et le nom, je me morfonds sirotant un scotch accompagné d'un cubain seulement, oui seulement. l’occasion m’est donnée de revenir sur ces fê

Cardiff c’est une grande histoire une grande histoire à écumer ses bars a enchaîner les histoires d’un soir a terminer à l’abattoir a enquiller les billards dans un rg hilare mais cardiff, ça commence par 2 salopards jézu prolo et souflé bobo, venu vent au dos vers un avenir aux multiples scénarios s’ajoutent plus tard zago bonobo,

Le cri du butor maintenant que la jeunesse s'éteint au carreau bleui maintenant que la jeunesse machinale m'a trahi maintenant que la jeunesse tu t'en souviens souviens-t-en maintenant que la jeunesse chante à d'autres le printemps maintenant que la jeunesse détourne ses yeux lilas maintenant que la jeunesse n'est plus ici n'est plus là mainten

Qu'il est rare en ces temps de "politiquement correct" de trouver des humoristes satiriques. france inter nous ayant privé de guillon et porte, régis mailhot a repris le flambeau mais il nous manquait une touche plus subtile teintée de méchanceté et d'humour acide. on en rêvait, fog l'a fait et c'est ainsi que le fils de guy bedos nous a rég

Le cinéma de honoré est adoré des bobos parisiens, il dépeint en effet un paris emplis de poésie en étant tout à la fois proche d'une certaine réalité. en bon bobo, "les chanson d'amour" est un "must have seen", emporté par la musique d'alex beaupain -qui fera le sujet d'un prochain article- ami d'enfance d'honoré ayant collaboré sur la