L’âme est un paysage choisi d’un soir ardent ou dans un brasier rougeoyant, la forme d’une femme fait son apparition au milieu des flammes, sans prévenir, tel un ange couleur amarrant. elle qui, dans sa robe écarlate enflamme les sens, tourbillonne et joue avec les vives étincelles, alors au rythme des crépitements t’ensorcelle, captiv
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21/02/2010
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Littérature, BD & Poésie
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C’est en fe rmant les yeux que je peux te voir, et ainsi peut commencer notre histoire. en exprimant soit ta douleur soit ton bonheur, tu parcourais inlassablement notre monde, tantôt avec colère tantôt avec douceur, mais, lors d’un jour d’automne, tu arrêtas ta ronde. incarnant cet esprit insaisissable du vent, dont les cheveux d’or au
Allongé lors d’un sombre soir d’é té, je regardais le ciel ombragé. les nuage s me paraissaient bien s ages, quand soudain s’abattit un orage. se révélèrent deux divinités, akka, fulgora elles se nommaient. en jouant entre les vifs éclairs, commence leur ballet de lumière. dans cette atmosphère électrique, je me senti devenir stat
21/02/10 mise à jour terminé 20/02/10 publication de "meret"
Ou ne pousse pas même un érable, ou les êtres vivants sont si rares, lieu d’illusion ou l’on peut tout croire, un voyage parmi les sables. dans le paysage ensablé, d’une beauté semblant éternelle, et dont la démarche donne des ailes, une femme soudain apparait. comme captivé je la regarde, ses yeux faisant baisser ma garde, dansante d
Oui c’est bien l’automne une saison bien monotone. les feuilles virevoltent et s’envolent commençant cette farandole. arrive le froid et l’hiver gelant lacs et rivières ; flocons recouvrants les sols, calmants cette farandole. un nouveau souffle de vie réveille les êtres endormis, ouvrant bourgeons et coroles ranimant cette farandole. e
C’est l’histoire d’un matin, d’un matin cristallin. promenade sur l’eau a travers les roseaux, ou jaillit une ondine d’une beauté divine, qui caressant l’écume fait se lever la brume. vision opaline dans les gouttes se dessine, au rythme de la pluie, danse puis s'évanouit.
Après mettre perdu, dans un bois j'aperçus, caché derrière un frêne, cette déesse, climène. un lys dans les cheveux, me regarde dans les yeux. éclairé par la lune dans l’herbe verte et brune, commence alors sa danse ou se mêle élégance et silence. illusion ou réel vision, question sans réponse. ainsi entre les ronces, son rite finit
C’était dans une nuit glaciale, ou j’entrevu tout à fait par hasard au beau milieu de nulle part, un grand palais de givre et de cristal. une jeune femme s’y trouvé devant les vêtements flottant au gré du vent. elle avait le tin pale et des yeux bleus, blond vénitien était ses cheveux. recouverte d’un large manteau de fourrure, la re
Depuis la nuit des temps, quand vient le soir, teint et cheveux argenté faisant sa beauté, dans l’obscurité une silhouette apparait, descendant des cieux dans sa robe de moire. sur le fond bleu, elle tire un voile de velours parait de milliers de cristaux de sélénite, sci ntillants dans se royaume emplit de mythe dont elle est seul propriét