Les violons de la mélancolie me désespère la vie mélange la joie et la solitude ici la descente est si froide chauffe mon regard… ferme les pages pour toujours, on tient les allers. tu peux marcher, moi je tombe reste dans les ombres, regarde la direction, jamais les chemins ne s’assombriront la voix sacrée mène à l’aube du grand dépa

La brume condamnée à rouler sur la vallée, étouffée, arrivée le temps d’un soupir glacé, roule sur la vallée a jamais condamnée, ne jamais monter au ciel où reposent les oiseaux quand la nuit est noire les anges noirs regardent les âmes étranglées par la fenêtre ferme mes yeux, je ne veux plus sentir, tu fais trembler le temps des m

Ici la vie dans le noir sous la terre mon sang sous la croix, par la main au nom du père et du fils que je vois s’abandonner et prier, l’amour emporté se faire prier et se faire aimer. ici la vie seule dans le noir amère mon sang écrasé par le poids le matin. au nom de l’air et du fil qui me tient. s ‘abandonner et confesser les péch

On s’éteindra ici sur la jetée de glace, regarder par dessous les incisives de l’hiver. blanchis d’étoiles polaires, efface les traces de l’herbe bleutée, en un nuage vaporisé. là-bas au bord du lac, ma vie ne savait pas. sur ma peau le vent soufflant et le froid mordant fendaient ma volonté, comme la glace sous les pieds le bruit de

Seule tous les soirs, sans la fantaisie, je marche sur la route, la longue agonie, le rêve de marcher, de cette maison maudite, les souvenirs y meurent. je ne peux dormir, ces murs me regardent et le monde se meurt, qui peut savoir. seule les histoires, la fatalité et silence apaise, à mes certitudes, comme j’aimerai hurler, crier, pleurer mai

Je vis dans un rêve tremblant comme l’eau animée par le vent la pluie tombe les mots sont durs, dans mes bras toujours la peur du vide tu aimes tant écouter le silence du moment, le vertige dans le noir, sur la terre tombent les murs, les bras déchirés, les sentiments sans nuage et la pluie qui se jette libre, l’air habite mes mains, parfo

La chute impériale effrayé… 8 millions d’années… l’éternité pendant des millions d’années quel spectacle misérable à contempler je veux l’aile éternelle phénix 500 ans pour parfaire notre vie l’âme est étincelle quand le corps est fractionnel signé avec le feu, là crois, le choix d’être là reste le temps sans le sens

Bonjour je voudrais partager ceci avec vous, pour une amie, merci :) http://lnk.ms/sdxrg

« y a t il quelqu’un ? »… il fait noir ici… « suis-je mort ? » je ne sais plus… « je suis en enfer c’est ça ? », j’entends gémir les démons, leur souffle à côté de ma tête et l’odeur de la gangrène, « ils m’ont pris cette fois, c’est ça ? » « hé là-haut, vous m’entendez ? » pourquoi finir ici, je n’ai fait

J’aimerai être avec toi le reste des jours quand je sais que tu es seule, que tu ne soies pas seule sans moi… là où tu vas et les ombres dorment, et n’en reviennent jamais et reposent sur elle les clefs des songes. j’ai libéré les champs de glace quand mon souffle t’as frôlé, j’ai fait tombé les herbes d’opales, elle se sont b